Actualités : Premier salon de l’étudiant
Engouement pour les études à l’étranger
Affluence
importante au premier salon de l’étudiant. Les stands des ambassades,
des instituts et autres organismes étrangers ont été pris d’assaut par
des étudiants intéressés par des études à l’étranger.
Au premier jour de ce salon qui se tient à l’Université des sciences et
des technologies Houari-Boumediène (USTHB), l’intérêt des étudiants et
des études à l’étranger était perceptible. Ils étaient nombreux à se
rendre directement au niveau des stands russe, japonais, français,
canadien ou tunisien à la recherche de renseignements au sujet des
modalités d’inscription dans les universités étrangères. Des
représentants d’organismes et d’instituts étrangers tiennent en effet
salon à côté d’instituts nationaux proposant des formations diplômantes.
Si ces derniers n’étaient pas boudés, les étudiants affichaient
clairement leurs préférences pour les études sous d’autres cieux. Le
salon de l’étudiant leur offrait en effet une opportunité de rencontrer
différents intervenants afin de mieux planifier leur avenir et connaître
les différentes perspectives qui s’offrent à eux. Une chance inédite
pour les lycéens qui sont aux portes des universités mais également pour
des étudiants qui peuvent à tout moment changer de cap. En plus des
rencontres directes, le salon de l’étudiant qui se poursuit aujourd’hui
comprend un espace dédié aux conférences à raison de quatre conférences
par jour. Des consultants y sont présents pour répondre à des questions
déterminantes que se posent tous les bacheliers telles que «comment
choisir entre université et grande école ? Entre le LMD et le système
classique?». Ils sont chaque année des milliers de lauréats à ne pas
savoir vers quelle filière s’orienter. Souvent, ils ne disposent pas
d’assez d’informations pouvant leur permettre de se faire une idée
précise du cursus qu’ils aimeraient suivre et finissent souvent par
faire des choix qu’ils regrettent, en témoigne le nombre des étudiants
qui veulent faire des transferts au terme de leur première année à la
faculté.
N. I.
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