L'affaire des sanctions impliquant un organisateur de mariage et un
chanteur à Jijel pose problème. Sans remettre en cause le bien-fondé du
jugement, est-il normal que le tribunal juge un «délit» à partir d'une
photo sur les réseaux sociaux ? Et il n'y a pas que la justice. Souvent,
les autorités réagissent après des publications sur ces réseaux. L'État
doit avoir ses propres sources d'information et, hormis des affaires
sérieuses et confirmées, ne plus se sentir concerné par des publications
de source inconnue et qui pourraient cacher des desseins inavoués !
Et combien d'affaires bien plus graves ignorées car «zapées» par Facebook et YouTube ?
M. F.
Et combien d'affaires bien plus graves ignorées car «zapées» par Facebook et YouTube ?
M. F.