Par Kader Bakou
Ça frôle l’unanimité ! La télévision publique montre à longueur de journée des gens qui parlent des élections locales. Les algériens, hommes et femmes (du moins ceux et celles montrés à la télé), veulent, à travers les élections, voir «l’homme qu’il faut à la place qu’il faut». Le futur élu doit aussi avoir trois qualités principales : «La compétence, l’honnêteté et l’engagement.» Les élections, toujours selon les personnes interrogées, sont un moyen «pour un avenir meilleur». Mais pour l’atteindre, il faudrait «le travail et la rigueur pour garantir l’avenir».
Ces «qualités» et ces «conditions» sont toutes des slogans des différents congrès du FLN d’avant le pluralisme. L’ex-parti unique a-t-il marqué pour toujours la culture politique des Algériens ?
K. B.
Ça frôle l’unanimité ! La télévision publique montre à longueur de journée des gens qui parlent des élections locales. Les algériens, hommes et femmes (du moins ceux et celles montrés à la télé), veulent, à travers les élections, voir «l’homme qu’il faut à la place qu’il faut». Le futur élu doit aussi avoir trois qualités principales : «La compétence, l’honnêteté et l’engagement.» Les élections, toujours selon les personnes interrogées, sont un moyen «pour un avenir meilleur». Mais pour l’atteindre, il faudrait «le travail et la rigueur pour garantir l’avenir».
Ces «qualités» et ces «conditions» sont toutes des slogans des différents congrès du FLN d’avant le pluralisme. L’ex-parti unique a-t-il marqué pour toujours la culture politique des Algériens ?
K. B.
