Sur les réseaux sociaux, on tombe parfois sur de drôles d’«amis». Il y a
d’abord le plus commun, celui qui, apparemment, souffre d’une
frustration chronique de ne pas avoir choisi le métier de journaliste.
Alors, pour récupérer le temps perdu, il se transforme en «agence de
presse». A la rigueur, ce n’est pas grave si ce n’est cette morbide
fascination pour les mauvaises nouvelles…
Il y a l’autre «ami» qui aurait mieux fait de créer un parti politique car, là, au moins, on saurait à quoi s’attendre. Il y a, enfin, «l’ami rubrique-nécrologique». Tout trépasse autour de lui. Après avoir «tué» ses grands-parents, ses oncles, ses tantes, ses collègues, ses amis proches, ses cousins et cousines, ses nièces et ses neveux, il va chercher «ses morts» au berceau.
Préservons-nous de ce genre «d’amis», ils sont pires que certains ennemis.
K. B.
Il y a l’autre «ami» qui aurait mieux fait de créer un parti politique car, là, au moins, on saurait à quoi s’attendre. Il y a, enfin, «l’ami rubrique-nécrologique». Tout trépasse autour de lui. Après avoir «tué» ses grands-parents, ses oncles, ses tantes, ses collègues, ses amis proches, ses cousins et cousines, ses nièces et ses neveux, il va chercher «ses morts» au berceau.
Préservons-nous de ce genre «d’amis», ils sont pires que certains ennemis.
K. B.