Informée de la disparition de deux jeunes adolescentes résidentes au
Centre de l’enfance assistée de Annaba, depuis quelque temps, la Brigade
de protection des mineurs de la Gendarmerie nationale de Annaba a
enclenché son plan de recherches destiné à cette catégorie de personnes.
Basé sur la collecte d’un maximum d’informations, ce plan s’est avéré concluant. En effet, les éléments de cette brigade ont pu arriver à localiser les deux mineures égarées en ville, selon la cellule de communication du Groupement de la gendarmerie de Annaba.
Transférées d’abord à la Brigade de protection des mineurs, les deux disparues ont, par la suite, été ramenées saines et sauves au Centre de l’enfance assistée.
L’activité de cette brigade de protection des mineurs se multiplie chaque saison estivale. Et pour cause, le nombre croissant d’adolescents et d’enfants dont la disparition est signalée par les parents. Certains ayant échoué aux examens, de peur d’affronter leurs parents, recourent à la fugue, espérant calmer leur colère une fois ramenés à la maison après plusieurs jours de disparition.
D’autres, originaires de wilayas limitrophes, souvent en rupture de ban de leur milieu familial, prennent le chemin de la ville de Annaba. Ils sont attirés par la grande métropole, ses rues, ses plages et ses moyens de loisirs qu’ils ne trouvent pas chez eux. Mais ils ignorent les dangers de la rue.
Et les statistiques du Groupement de la Gendarmerie nationale de Annaba, dans son chapitre protection des mineurs, sont éloquentes. A la lecture du bilan établi par ce corps constitué, uniquement pour les mois de juin et juillet écoulés, la Brigade de protection des mineurs a procédé à 45 enquêtes judiciaires concernant cette catégorie et pris en charge 20 enfants et adolescents en situation de danger moral. Tout comme elle a procédé, durant les deux mois, au contrôle de 55 jardins d’enfants et entrepris 95 sorties dans les différents endroits fréquentés par la catégorie juvénile, notamment les mineurs, dans un but de sensibilisation et prévention contre les fléaux sociaux et autres formes de délinquance qui guettent les mineurs.
A. Bouacha
Basé sur la collecte d’un maximum d’informations, ce plan s’est avéré concluant. En effet, les éléments de cette brigade ont pu arriver à localiser les deux mineures égarées en ville, selon la cellule de communication du Groupement de la gendarmerie de Annaba.
Transférées d’abord à la Brigade de protection des mineurs, les deux disparues ont, par la suite, été ramenées saines et sauves au Centre de l’enfance assistée.
L’activité de cette brigade de protection des mineurs se multiplie chaque saison estivale. Et pour cause, le nombre croissant d’adolescents et d’enfants dont la disparition est signalée par les parents. Certains ayant échoué aux examens, de peur d’affronter leurs parents, recourent à la fugue, espérant calmer leur colère une fois ramenés à la maison après plusieurs jours de disparition.
D’autres, originaires de wilayas limitrophes, souvent en rupture de ban de leur milieu familial, prennent le chemin de la ville de Annaba. Ils sont attirés par la grande métropole, ses rues, ses plages et ses moyens de loisirs qu’ils ne trouvent pas chez eux. Mais ils ignorent les dangers de la rue.
Et les statistiques du Groupement de la Gendarmerie nationale de Annaba, dans son chapitre protection des mineurs, sont éloquentes. A la lecture du bilan établi par ce corps constitué, uniquement pour les mois de juin et juillet écoulés, la Brigade de protection des mineurs a procédé à 45 enquêtes judiciaires concernant cette catégorie et pris en charge 20 enfants et adolescents en situation de danger moral. Tout comme elle a procédé, durant les deux mois, au contrôle de 55 jardins d’enfants et entrepris 95 sorties dans les différents endroits fréquentés par la catégorie juvénile, notamment les mineurs, dans un but de sensibilisation et prévention contre les fléaux sociaux et autres formes de délinquance qui guettent les mineurs.
A. Bouacha
