La Chambre des représentants du peuple( Parlement) en Libye poursuivait lundi l'examen des conditions de l'élection du prochain président de la République, rapportent des médias locaux. «Le Parlement a préféré reporter l'examen du budget général de 2021 à une date ultérieure pour examiner les conditions de l'élection du prochain président de la République», a indiqué le porte-parole du Parlement, Abdelhak Belahiak, cité par des médias libyens.
Parmi les conditions soumises à l'examen figurent, entre autres, l'obligation pour le candidat d'être d'origine libyenne et musulman, de parents musulmans libyens, pas marié avec une étrangère, titulaire d'un diplôme universitaire, avoir 40 ans résolus à la date du dépôt de dossier de candidature, de présenter à la Haute Commission électorale libyenne 10 000 signatures dûment signées et remplies.
La tenue des élections générales à la date prévue, soit le 24 décembre prochain, est le souhait de tous les Libyens et de la communauté internationale. Lors de la Conférence internationale sur la Libye Berlin 2 tenue le 23 juin dernier en Allemagne, les participants ont insisté sur la nécessité de réunir toutes les conditions nécessaires pour la tenue de ce rendez-vous à la date prévue et son succès.
Rubrique Monde
Libye Le Parlement poursuit l'examen des conditions de l'élection du prochain président
Multimédia
Les + populaires de la semaine
-
- Actualités
- 04:19
- 14-04-2024
Air Algérie annonce la suspension de ses vols à destination de la Jordanie et du Liban
-
- Régions
- 15:12
- 16-04-2024
Trafic de drogue Un réseau tombe à Oran
-
- Régions
- 11:00
- 14-04-2024
Sfisef (Sidi-Bel-Abbès) Lumière sur l’assassinat des 3 taxieurs retrouvés enterrés dans une ferme
-
- Actualités
- 16:16
- 17-04-2024
KFC Algérie ferme deux jours après son ouverture
-
- Actualités
- 04:10
- 16-04-2024
CNR Les retraités appelés à utiliser la technique de reconnaissance faciale via "Takaoudi"
-
- Actualités
- 04:40
- 17-04-2024
Justice Trois individus placés en détention pour passation de marché suspect entre «Mobilis » et un consortium algéro-étranger