L’effet libérateur du Hirak est aujourd’hui indéniable sur les différents secteurs d’activité. C’est au tour des concessionnaires automobiles historiques qui ont été soit dépossédés de leurs marques, soit complètement marginalisés par Bouchouareb et consorts, de revenir sur la scène et exiger une réhabilitation. Des contacts sont établis entre eux pour étudier et envisager des actions concrètes en vue de reprendre leurs activités et surtout récupérer leurs biens spoliés au profit de tiers.
Leur initiative peut aussi se révéler salutaire pour casser le monopole de fait, exercé par certains, à travers des quotas d’importation pour quelques marques non présentes industriellement, ou tout au moins, leur implication dans le marché de véhicules de moins de 3 ans que le gouvernement a décidé de libérer prochainement et offrir ainsi aux citoyens des circuits organisés, sécurisés et à des prix nettement plus avantageux.
