Inauguré par le wali de Blida, limogé cette semaine, un vaste mouvement des walis interviendra incessamment, apprend-on de bonne source.
Ce mouvement concernera nombre de wilayas y compris la capitale, Alger, nous révèle-t-on encore. Motivé par des considérations politiques, au départ, en prévision des présidentielles, ce mouvement est fortement «influencé», par ailleurs, par les «répliques» de l’affaire de la cocaïne ainsi que celle du choléra. «Les collectivités locales sont plus à blâmer que le secteur de la santé dans cette affaire», nous explique-t-on.