Placeholder

Rubrique Pousse avec eux

Cas graves et documentés de maltraitance à grande échelle !

Le pire dans ces histoires de foot-combines, c’est qu’on parle encore de «matchs arrangés». Quand tu vois le niveau de jeu, c’est tout sauf…

… arrangé, c’bazar !

Je suis sous le choc ! Même si les images ne concernent pas ma Principauté, il y a de quoi subir un vrai choc à la vue de ces scènes hallucinantes. Des cas avérés de maltraitance en France. Attention ! Pas de la petite maltraitance. Non ! De graves cas de maltraitance avérés. documents filmés et témoignages à l’appui. Certaines personnes interrogées et ayant préféré garder l’anonymat de peur de représailles n’ont pas hésité à évoquer des formes de «torture». La torture ! En France ! La France, pays des droits de l’homme ! Et le tout en 2021 ! Je n’en reviens toujours pas. Comment nos cousins gaulois ont-ils pu dériver ainsi ? Par quel mécanisme sécuritaire vicieux en sont-ils arrivés à ces extrêmes tant épuisants pour le corps que pour
l’esprit ? Le tout, maquillé sous une appellation qui se veut light, légère, comme les robes vaporeuses des filles, l’été, sur les plages. On croirait entendre Souchon ! La plage, justement ! C’est le lieu où ce concept ignoble et impitoyable a été testé la première fois, la première fois dans l’histoire de l’humanité tout entière, je tiens à le préciser. Quel concept et quelle forme de torture ? M’enfin ! vous avez les yeux enduits avec quoi pour avoir raté ces images, Dézédiennes et Dézédiens ? Ce n’est pas parce que ça se passe chez Fafa, pas chez nous, et que chez nous, on a beau dire, les Frères du Palais n’ont pas recours à ce genre de tortures, qu’il nous faut pour autant détourner les yeux. Non ! Au contraire ! Pointons un doigt accusateur en direction de ce concept de… «PLAGE DYNAMIQUE». C’est quoi, la plage dynamique ? Un truc de pervers, tout bonnement. Ils t’autorisent à aller à la plage, à te baigner, mais il t’est strictement interdit de te poser, de t’assoir sur le sable. Résultat, les plages françaises ressemblaient hier au rite mecquois de «Safâ» et  «Marwah». Des «estivants» (sic) se trimballant d’un coin à l’autre des sites, se croisant sans s’adresser la parole et surtout sans marquer de pause. En fin de journée, pour les plus résistants, on aurait dit des zombies. Le visage cramé par le soleil, les pieds bouffés par les cloques,  et juste une envie, une seule envie. Celle de rentrer chez soi et de s’affaler sur le sofa. Plus grave et encore plus incompréhensible à mes yeux, le silence coupable des ONG, d’habitude si promptes à réagir ailleurs. Pas un mot d’Amnesty International, section «plages» ou de Human Rights Watch, branche «pâtés de sables». Trop facile ! Personne, aucune de ces organisations ne pourra dire un jour «je ne savais pas !». Si ! Tout le monde le sait maintenant. La France tue sa population par épuisement dynamique sur les plages. Je fume du thé et je reste éveillé, le cauchemar continue.
H. L.

Placeholder

Multimédia

Plus

Les + populaires de la semaine

(*) Période 7 derniers jours

  1. Intempéries Quatre personnes secourues à Tizi-Ouzou

  2. Air Algérie annonce la suspension de ses vols à destination de la Jordanie et du Liban

  3. Trafic de drogue Un réseau tombe à Oran

  4. Sfisef (Sidi-Bel-Abbès) Lumière sur l’assassinat des 3 taxieurs retrouvés enterrés dans une ferme

  5. CNR Les retraités appelés à utiliser la technique de reconnaissance faciale via "Takaoudi"

  6. KFC Algérie ferme deux jours après son ouverture

Placeholder