Affaire El-BOUCHI ! Une nouvelle BROCHETTE de prévenus CUISINÉS par les juges. Quelle source ?
Source BARBECUE !
Après avoir choqué tout le monde, et même… tout le monde, avec son histoire de carte Chifa obligatoire pour les soins en hosto, le ministre du travail a fait marche arrière. Avant lui, d’autres ministres avaient eux aussi enclenché cette marche arrière, revenant piteusement sur leurs propos. D’autres hauts responsables avaient été contraints à cette manœuvre en marche arrière par les démentis de leurs propres services, en interne ! Ce qui m’oblige aujourd’hui à aborder un sujet qui brûle mon encre depuis quelque temps déjà : la MARCHE ARRIÈRE ! Comment se fait-il que la Principauté de Dézédie ne soit pas leader chez les constructeurs automobiles en matière de marche arrière ? D’accord, pour les autres éléments de la boîte de vitesses, les marches avant graduées, je ne dis pas. Nous ne prétendons à rien ! C’est un fait indiscutable. Mais la marche arrière, y a Sahbi ? Je ne vois aucune firme mondiale, multinationale de la boîte de vitesses et des composants mécaniques et électroniques des véhicules motorisés capable de rivaliser avec nous dans le domaine de la marche arrière. Dézédie is Boss ! Et donc, partant de ce constat sans appel, je demande – que dis-je ? –j’exige en tant que citoyen jaloux de la gestion des deniers publics que les marques autos étrangères installées au montage chez nous fassent appel exclusivement aux compétences locales en matière de marche arrière et de process de recul ! Et y en a ! Rien que dans l’actuel gouvernement, tellement tu les vois tous les jours faire marche arrière, que t’as l’impression d’un ban de crabes en mode rétropédalage ! Utilisons nos capacités nationales. Faisons appel sans retenue aux marcheurs en arrière pour mieux… avancer ! Avançons à l’arrière ! Ou reculons en avant ! Mais restons dans la dynamique zygomatique, que diable ! Sans oublier notre autre compétence mondialement saluée, celle de fumer du thé pour rester éveillés à notre cauchemar qui continue.
H. L.
