«Relations algéro-françaises ! Le Bajolet…
… nouveau est arrivé !
Ce n’est pas la première fois ! Mais ce n’est pas parce que ce n’est pas la première fois qu’il ne faut pas en parler. Qui peut dire aujourd’hui, ce mercredi, si l’entreprise Fertial a été cédée, vendue au groupe Haddad ? Personne ! Du moins de manière sûre et certaine. C’est un comble ! Dans ton pays, ta principauté, tu ne sais pas si une grosse entreprise est toujours dans le portefeuille public – du moins en partie – ou pas. A la place tu as droit à tout. Fertial a été offerte à Haddad. Ou alors, la Présidence s’est opposée à cette session. S’agit-il d’un défaut de communication des dirigeants, ceux qui décident de nos options économiques, et de nos options tout court ? Ou alors un manque de rigueur professionnelle chez nous, gens de presse ? Y a-t-il un interlocuteur crédible, habilité et diligenté en mesure d’être appelé, contacté et à qui il serait possible de poser cette question, et surtout d’attendre de lui une réponse claire : Fertial a-t-elle été vendue à Haddad, oui ou non ? Moi, à la limite, je m’en tamponne le coquillard qu’on vende au Premier Bitumeur du pays une boîte publique. Au point où nous en sommes, on peut tout lui vendre, si ça chante à ceux qui dirigent le solfège. Et lui peut tout acheter, sauf la conjonction de coordination laquelle ne peut pas s’acheter ! Wallah que je m’en fous au fond qu’il y ait eu cession ou pas. Par contre, ce qui m’insupporte, c’est de ne pas savoir. Juste savoir ! Oui ? Ou non ? Vendue ? Ou pas vendue ? Ensuite, cette confirmation ou ce démenti en poche, l’esprit un peu plus apaisé parce qu’encore mu au fond de moi par le souci de transparence, je pourrais faire ce que je fais à l’air libre et que je ne vendrais à personne, ni en 51/49, ni en totalité : fumer du thé et rester éveillé à mon cauchemar qui continue.
H. L.