En prévision de la fête du sacrifice, 18 sites pour la vente du
mouton ont été retenus au niveau de 13 daïras et 18 communes de la
wilaya de Médéa.
Ainsi, la Direction des services agricoles (DSA) a mobilisé plus d'une vingtaine de zootechniciens pour superviser cette opération dans les points de vente autorisés afin de se prononcer sur la bonne santé de l'animal.
D'autre part, concernant l'abattage, les citoyens sont invités à se rapprocher des abattoirs publics qui mettent à leur disposition toutes les conditions requises pour ce faire.
Des permanences seront assurées par des vétérinaires dans les bureaux d'hygiène communaux, au niveau des abattoirs et même dans les quartiers pour s'assurer des mesures d'asepsie et d'assainissement et prodiguer conseils et recommandations aux familles.
Il est à rappeler que l'année dernière, suite à l'apparition d'un foyer de fièvre aphteuse dans la wilaya, la vente du mouton avait été autorisée sous réserve avec entre autres interdictions de vente du bovin, restrictions de déplacement de l'ovin avec obligation du certificat sanitaire délivré par les instances vétérinaires officielles, la mise à la disposition des citoyens de deux abattoirs et 8 tueries sous l’œil vigilant des services de la DSA.
Dans un autre volet, cette fois-ci, les prix du mouton sont à la baisse, selon les agriculteurs et les éleveurs. Parfois jusqu'à 100 000 DA par rapport à l'année dernière. D'un vendeur à un autre, le fléchissement des prix du mouton serait dû à la demande encore fluette, généralement les gens préfèrent acheter la veille de l'Aïd. Plus loin, l'on nous dit que les points d'accès vers la Tunisie étant fermés sous haute surveillance, la contrebande est impossible et cela influe sur le coût du marché qui se voit à la baisse parce que l'offre l'emporte sur la demande .
Par ailleurs, les acheteurs semblent moins stressés et plus confiants eu égard à la bonne conjoncture qui prévaut actuellement dans les marchés aux bestiaux.
M. L.
Ainsi, la Direction des services agricoles (DSA) a mobilisé plus d'une vingtaine de zootechniciens pour superviser cette opération dans les points de vente autorisés afin de se prononcer sur la bonne santé de l'animal.
D'autre part, concernant l'abattage, les citoyens sont invités à se rapprocher des abattoirs publics qui mettent à leur disposition toutes les conditions requises pour ce faire.
Des permanences seront assurées par des vétérinaires dans les bureaux d'hygiène communaux, au niveau des abattoirs et même dans les quartiers pour s'assurer des mesures d'asepsie et d'assainissement et prodiguer conseils et recommandations aux familles.
Il est à rappeler que l'année dernière, suite à l'apparition d'un foyer de fièvre aphteuse dans la wilaya, la vente du mouton avait été autorisée sous réserve avec entre autres interdictions de vente du bovin, restrictions de déplacement de l'ovin avec obligation du certificat sanitaire délivré par les instances vétérinaires officielles, la mise à la disposition des citoyens de deux abattoirs et 8 tueries sous l’œil vigilant des services de la DSA.
Dans un autre volet, cette fois-ci, les prix du mouton sont à la baisse, selon les agriculteurs et les éleveurs. Parfois jusqu'à 100 000 DA par rapport à l'année dernière. D'un vendeur à un autre, le fléchissement des prix du mouton serait dû à la demande encore fluette, généralement les gens préfèrent acheter la veille de l'Aïd. Plus loin, l'on nous dit que les points d'accès vers la Tunisie étant fermés sous haute surveillance, la contrebande est impossible et cela influe sur le coût du marché qui se voit à la baisse parce que l'offre l'emporte sur la demande .
Par ailleurs, les acheteurs semblent moins stressés et plus confiants eu égard à la bonne conjoncture qui prévaut actuellement dans les marchés aux bestiaux.
M. L.