La commune de Ziama Mansouriah a bénéficié de 210
millions de dinars destinés à la réhabilitation du chemin communal
numéro 9 reliant la localité de Betacha à Fedj-el-Reih sur une distance
de 17 km, a-on-appris auprès du président de l'Assemblée populaire
communale, Amira Fouad, samedi. Le maire de cette commune côtière a
précisé que ce projet contribuera au désenclavement de nombreuses
localités citant, entre autres, Hama-Tezga, Betacha, Aour, Afernou, Fedj-el-Reih
totalisant une population de plus de 3 000 habitants.
Il y a lieu de souligner que ces localités ont été fortement touchées par l'exode des années 1990 sous la menace terroriste. Rappelons que les autorités locales ont initié ces dix dernières années de nombreuses actions relatives à la réhabilitation de chemins communaux dans de nombreuses communes, l'octroi des aides à l'habitat rural et des soutiens dans le cadre du programme de projets de proximité de développement rural intégré et du Fonds national de développement agricole en vue du retour des populations de ces régions vers leur région d'origine. Cependant, cette démarche a buté sur un certain nombre de contraintes d'ordre socioculturel, notamment chez les jeunes. Ces derniers refusent le retour et boudent le travail harassant de la terre car ils n'ont aucun lien avec la terre, étant donné qu’ils sont des déracinés vu leur déplacement forcé vers la ville.
Bouhali Mohammed Cherif
Il y a lieu de souligner que ces localités ont été fortement touchées par l'exode des années 1990 sous la menace terroriste. Rappelons que les autorités locales ont initié ces dix dernières années de nombreuses actions relatives à la réhabilitation de chemins communaux dans de nombreuses communes, l'octroi des aides à l'habitat rural et des soutiens dans le cadre du programme de projets de proximité de développement rural intégré et du Fonds national de développement agricole en vue du retour des populations de ces régions vers leur région d'origine. Cependant, cette démarche a buté sur un certain nombre de contraintes d'ordre socioculturel, notamment chez les jeunes. Ces derniers refusent le retour et boudent le travail harassant de la terre car ils n'ont aucun lien avec la terre, étant donné qu’ils sont des déracinés vu leur déplacement forcé vers la ville.
Bouhali Mohammed Cherif
