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Rubrique Régions

Brèves de Béjaïa 38 motos mises en fourrière

La Gendarmerie nationale a procédé le week-end dernier à une vaste opération de sécurisation des RN9 et 43, en prévision du grand rush de vendredi et samedi sur les plages du littoral de Béjaïa.
Dans la ligne de mire des hommes en vert, les deux roues, qui constituent incontestablement les principales causes des accidents de la circulation, notamment en cette période estivale.
Selon un communiqué du groupement de la Gendarmerie nationale, pas moins de 38 engins en deux roues ont été appréhendés et mis en fourrière, pour divers manquements, à savoir défaut de casques, assurances et permis de conduire de certaines motos grosses cylindrées.
Des procès-verbaux ont été dressés contre tous les contrevenants, et certains auront carrément à répondre devant les instances judiciaires.
Kamel Gaci

Les citoyens crient au scandale de l'insalubrité

Sur les réseaux sociaux, des appels quotidiens sont lancés par les citoyens avec photos à l'appui de certaines places hautement touristiques du chef-lieu de Béjaïa, qui souffrent de l'insalubrité et du manque flagrant d'hygiène et surtout de poubelles débordantes.
La féerique place du 1er-Novembre (place Gueydon), à titre d'exemple, fait partie justement de ces lieux, où les immondices ont atteint des seuils intolérables, surtout en cette période où des milliers de vacanciers viennent découvrir cette merveilleuse esplanade, donnant vue sur le vieux port de la cité des Hammadites.
Les nouveaux responsables de la municipalité sont appelés à accorder plus d'intérêt au nettoyage de ces endroits prisés par les visiteurs, dans une commune asphyxiée par les décharges sauvages. Ajoutez à cela le manque inexplicable de poubelles et surtout l'incivisme régnant partout dans les quartiers de la ville.
Le projet de l'Epic communal, sujet ayant fait naître une lueur d'espoir d'une cité moderne, il y a quelques années, est toujours sans suite et relégué aux calendes grecques.
K. G.

Le tronçon Takerietz-Sidi Aïch, le cauchemar des automobilistes

Traverser l'axe de moins de 10 km, entre la ville de Sidi Aïch et le village de Takerietz sur la RN26, entre 7h et midi et de 14h à 20h, relève quasiment du parcours du combattant, pour les milliers d'usagers de cet important réseau routier menant à la capitale des Hammadites.
Les interminables embouteillages commencent de la sortie de la fameuse pénétrante à l'entrée de Takerietz jusqu'à la sortie de Sidi Aïch et vice versa, résultat de l'interminable projet de l'autoroute Est-Ouest initié il y a plusieurs années.
Les automobilistes souffrent le martyre lors de ce passage infernal notamment en cette période de grandes chaleurs. «C'est un vrai calvaire, je n'ai plus de mot face à cette souffrance », nous dira un citoyen d'Akbou, qui ajoute : «Je travaille à Béjaïa, j’emprunte cette route tous les jours de l'année, au lieu de la faire en une heure, je mets parfois trois heures et figurez-vous qu'en cette période de l'année, je prends la route de chez moi à 5h du matin pour être à l'heure au bureau, c'est inconcevable.»
K. G.

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