Le wali d’Oran a effectué récemment une visite d’inspection au niveau
de plusieurs chantiers relevant du secteur de la santé, comme le futur
hôpital des grands brûlés, les deux hôpitaux de 240 lits à Gdeyel et
Sidi Chahmi, et qui accusent tous des retards de livraison.
D’où l’insistance du wali, en allant sur les chantiers en question pour constater l’avancement des projets, de respecter les délais contractuels.
Par le passé, l’une des entreprises ayant bénéficié de maints chantiers de réalisation à l‘époque de l’ex-ministre de la Santé, A. Boudiaf, avait déjà fait l’objet de pénalités pour cause de retard sur le chantier de l’hôpital des grands brûlés.
Ainsi les dates de livraisons successives ont été avancées : juillet 2018, puis décembre 2018, et maintenant que l’année 2019 est bien entamée ce projet n’atteint qu’un taux de réalisation de 85%.
Ces jours derniers les entreprises qui sont sur place ont fait remarquer que les retards en question étaient dus à des blocages de rallonges budgétaires, chose qui a été levée, comme affirmé par le wali. Mais ces problèmes de financement ne sont pas seulement dus à une période d’austérité financière, mais surtout à un problème de conduite des travaux qui ne sont pas aux normes, et des avenants déposés au fur et à mesure de l’avancement des travaux. Ainsi l’hôpital des grands brûlés qui aura une vocation nationale, avait un accord de programme pour
1 milliard de DA, aujourd’hui le coût a atteint presque les
3 milliards de DA pour une capacité de 120 lits et il n’est toujours pas livré.
Pour les deux autres hôpitaux de 240 lits, des avenants en plus de marchés ont atteint des enveloppes budgétaires de plus de 800 milliards de centimes.
Fayçal M.
D’où l’insistance du wali, en allant sur les chantiers en question pour constater l’avancement des projets, de respecter les délais contractuels.
Par le passé, l’une des entreprises ayant bénéficié de maints chantiers de réalisation à l‘époque de l’ex-ministre de la Santé, A. Boudiaf, avait déjà fait l’objet de pénalités pour cause de retard sur le chantier de l’hôpital des grands brûlés.
Ainsi les dates de livraisons successives ont été avancées : juillet 2018, puis décembre 2018, et maintenant que l’année 2019 est bien entamée ce projet n’atteint qu’un taux de réalisation de 85%.
Ces jours derniers les entreprises qui sont sur place ont fait remarquer que les retards en question étaient dus à des blocages de rallonges budgétaires, chose qui a été levée, comme affirmé par le wali. Mais ces problèmes de financement ne sont pas seulement dus à une période d’austérité financière, mais surtout à un problème de conduite des travaux qui ne sont pas aux normes, et des avenants déposés au fur et à mesure de l’avancement des travaux. Ainsi l’hôpital des grands brûlés qui aura une vocation nationale, avait un accord de programme pour
1 milliard de DA, aujourd’hui le coût a atteint presque les
3 milliards de DA pour une capacité de 120 lits et il n’est toujours pas livré.
Pour les deux autres hôpitaux de 240 lits, des avenants en plus de marchés ont atteint des enveloppes budgétaires de plus de 800 milliards de centimes.
Fayçal M.
