Placeholder

Rubrique Régions

Relizane Des malades chroniques se rabattent sur les urgences

Selon des sources hospitalières, les patients admis aux urgences médicales de cet établissement durant le mois de Ramadhan sont des malades chroniques en majorité. L’abstinence des malades chroniques a conduit la grande majorité d’entre eux à l’hôpital. Si la réponse de la religion est très claire sur le sujet, il n’en demeure pas moins que les malades, par déni de l’interdiction, ne prennent pas en compte l’avis du médecin.
«Les patients admis aux urgences médicales durant le mois de Ramadhan sont en majorité les personnes âgées présentant des maladies chroniques (diabète, hypertension artérielle, maladies cardiovasculaires) qui persistent à jeûner en dépit des mises en garde des médecins en raison de complications», fait savoir notre interlocuteur qui a toutefois relevé une faible affluence durant les matinées du mois sacré. Le nombre de malades qui finissent dans les services des urgences des hôpitaux en dit long sur les réticences injustifiées des malades chroniques face aux conseils des spécialistes. Mais de nombreuses personnes, surtout diabétiques, jeûnent malgré les risques de complications et les contre-indications médicales.
Les raisons sont multiples. Elles ne se sentent pas malades et sont convaincues qu’elles vont bien durant ce mois sacré et tiennent à jeûner.
D’autres jeûnent parce qu’ils ont eu l’habitude de jeûner depuis leur jeune âge.
A. Rahmane
Placeholder

Multimédia

Plus

Les + populaires de la semaine

(*) Période 7 derniers jours

  1. Coupe du monde de gymnastique L'Algérienne Kaylia Nemour s'offre l'or à Doha

  2. Demi-finale aller de la Coupe de la CAF Le match USM Alger - RS Berkane compromis, Lekdjaâ principal instigateur

  3. Le stade Hocine-Aït-Ahmed de Tizi-Ouzou pourrait abriter le rendez-vous La finale se jouera le 4 mai

  4. Affaire USM Alger - RS Berkane La décision de la CAF tombe !

  5. Coupe de la CAF, le match USMA-RS Berkane ne s’est pas joué Les Usmistes n’ont pas cédé au chantage

  6. Temps d’arrêt Lekdjaâ, la provocation de trop !

Placeholder