Les changements
climatiques de ces derniers jours et le froid qui s’est abattu sur
Blida, ont fait sortir, hier, des mères de famille recasées dans une
école transformée en centre pour sinistrés où 61 familles y hébergent
depuis des années, pour aller dénoncer, devant le siège de la daïra de
Blida, leur souffrance notamment à cause de l’absence de chauffage et
l’infiltration d’eau.
Ce n’est pas la première fois que ces femmes protestent pour attirer l’attention des autorités locales à se pencher sur leurs cas aux fins de leur trouver une solution qui les fera sortir de leur calvaire. C’est ainsi que leurs revendications n’étaient autres que d’être relogées dans des habitations décentes surtout que leurs logements se sont effondrés ou menacent ruine à l’image des immeubles de la rue du Bey, de Douiret et de la rue des Martyrs, en plein centre-ville de Blida. Le malheur de ces femmes va au-delà de leur souffrance du logement puisqu’elles ont peur que leurs enfants, des jeunes, quittent le pays avec les harragas, comme c’est le cas de cette mère qui a deux adolescents, lesquels la menacent à chaque fois de partir dans les canots de la mort.
D’autres mères déplorent, par contre, le rejet de leurs dossiers de demande de logement social car le salaire de leurs époux dépassent les 24 mille dinars. Étant dans l'expectative, elles demandent aux responsables de tenir compte de leurs situations pour une solution qui les fera sortir de leurs chemins de croix.
M. B.
Ce n’est pas la première fois que ces femmes protestent pour attirer l’attention des autorités locales à se pencher sur leurs cas aux fins de leur trouver une solution qui les fera sortir de leur calvaire. C’est ainsi que leurs revendications n’étaient autres que d’être relogées dans des habitations décentes surtout que leurs logements se sont effondrés ou menacent ruine à l’image des immeubles de la rue du Bey, de Douiret et de la rue des Martyrs, en plein centre-ville de Blida. Le malheur de ces femmes va au-delà de leur souffrance du logement puisqu’elles ont peur que leurs enfants, des jeunes, quittent le pays avec les harragas, comme c’est le cas de cette mère qui a deux adolescents, lesquels la menacent à chaque fois de partir dans les canots de la mort.
D’autres mères déplorent, par contre, le rejet de leurs dossiers de demande de logement social car le salaire de leurs époux dépassent les 24 mille dinars. Étant dans l'expectative, elles demandent aux responsables de tenir compte de leurs situations pour une solution qui les fera sortir de leurs chemins de croix.
M. B.