Tout le monde aura remarqué que, depuis une année,
des travaux d’embellissement du centre-ville sont entamés. Tous les
ronds-points font l’objet de restauration, pour donner à la ville un peu
plus de gaîté. Bien sûr, nul ne peut contester de telles initiatives, au
contraire, ce sont de louables efforts, qu’il faut encourager ; sur ce
point, tout le monde est d’accord.
Toutefois, il y a aussi d’autres priorités qu’il ne faut pas ignorer. Dans cette même rubrique, nous évoquions la dégradation du réseau routier, il est donc utile de rappeler que la remise en l’état des routes est une priorité, la dégradation de la chaussée présente un risque aussi bien pour les automobilistes que pour les piétons, à certains endroits, il y a de véritables crevasses où un mulet laisserait ses sabots.
Parmi ces priorités, il y a une urgence : le danger que représentent ces dos d’ânes ne répondant à aucune norme, parfois, ils sont érigés anarchiquement par des riverains au mépris de la loi. Ces «ralentisseurs» ne sont souvent pas signalés et présentent un risque pour les automobilistes. Un chauffeur de taxi nous explique que dès qu’il quitte son domicile pour rejoindre la station de taxis, il doit passer sur 12 dos d’ânes, ce qui le contraint à réviser la suspension de sa voiture tous les six mois.
Il nous raconte qu’un jour, il faillit vivre un drame à cause d’un dos d’âne : appelé pour évacuer une femme enceinte aux urgences, il n’a pu voir un ralentisseur dans l’obscurité, il n’a pas pu freiner à temps et le véhicule s’est éjecté violemment, la suite vous la devinez : la femme enceinte a failli perdre son bébé.
Les autorités ne doivent pas ignorer ce problème et se conformer à l’instruction du ministère de l’Intérieur adressée aux responsables concernés pour l’enlèvement des ralentisseurs sauvages et de réinstaller d’autres conformes aux normes à des endroits sensibles, notamment près des établissements scolaires. Dans la commune de Mansourah, un motard a échappé à une mort certaine : roulant à plus de 100 kh/h, il est passé sur un dos d’âne et s’est retrouvé projeté à plusieurs mètres, heureusement sans gravité.
Oui pour des ralentisseurs pour la sécurité des enfants et non à ces obstacles, qui peuvent être à l’origine d’accidents mortels.
M. Zenasni
Toutefois, il y a aussi d’autres priorités qu’il ne faut pas ignorer. Dans cette même rubrique, nous évoquions la dégradation du réseau routier, il est donc utile de rappeler que la remise en l’état des routes est une priorité, la dégradation de la chaussée présente un risque aussi bien pour les automobilistes que pour les piétons, à certains endroits, il y a de véritables crevasses où un mulet laisserait ses sabots.
Parmi ces priorités, il y a une urgence : le danger que représentent ces dos d’ânes ne répondant à aucune norme, parfois, ils sont érigés anarchiquement par des riverains au mépris de la loi. Ces «ralentisseurs» ne sont souvent pas signalés et présentent un risque pour les automobilistes. Un chauffeur de taxi nous explique que dès qu’il quitte son domicile pour rejoindre la station de taxis, il doit passer sur 12 dos d’ânes, ce qui le contraint à réviser la suspension de sa voiture tous les six mois.
Il nous raconte qu’un jour, il faillit vivre un drame à cause d’un dos d’âne : appelé pour évacuer une femme enceinte aux urgences, il n’a pu voir un ralentisseur dans l’obscurité, il n’a pas pu freiner à temps et le véhicule s’est éjecté violemment, la suite vous la devinez : la femme enceinte a failli perdre son bébé.
Les autorités ne doivent pas ignorer ce problème et se conformer à l’instruction du ministère de l’Intérieur adressée aux responsables concernés pour l’enlèvement des ralentisseurs sauvages et de réinstaller d’autres conformes aux normes à des endroits sensibles, notamment près des établissements scolaires. Dans la commune de Mansourah, un motard a échappé à une mort certaine : roulant à plus de 100 kh/h, il est passé sur un dos d’âne et s’est retrouvé projeté à plusieurs mètres, heureusement sans gravité.
Oui pour des ralentisseurs pour la sécurité des enfants et non à ces obstacles, qui peuvent être à l’origine d’accidents mortels.
M. Zenasni