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Rubrique Régions

AÏN BEÏDA La nouvelle ville fait peau neuve

Le nouveau pôle urbain situé au sud du chef-lieu de la commune et qui compte plus de 12 000 habitants, vient de connaître une grande mutation.
Une cité qui s'est métamorphosée avec un plan d'urbanisation étudié , un aménagement des plus modernes avec des espaces verts aux abords des deux chaussées soigneusement bitumées.
Les différentes cités ont été dotées de lampadaires LED et le grand boulevard menant vers la wilaya de Khenchela brille le soir tombé par des lumières aux couleurs nationales.
Ce pôle, qui a connu ces dernières années des programmes de logements tous types confondus AADL, LSP (logements sociaux participatifs, promotions immobilières...), dispose de toutes les infrastructures : scolaires, des salles de soins, un commissariat central, une agence postale... Pour rappel, la nouvelle ville connaîtra, dans les tout prochains jours, une attribution de plus d'un millier de logements sociaux et plus de 700 lots à bâtir, dont les travaux d'aménagement sont en voie de lancement .
Les usagers qui empruntent pour la première fois ses avenues, la nuit, seront simplement épatés par ces lumières qui rendent agréables ces placettes où les riverains sortent pour faire de petites promenades et s'oxygéner, loin de la pression et des embouteillages de la ville.
Moussa Chtatha

 

3 familles tentent de s'immoler par le feu

Trois familles composées de femmes, hommes et enfants, tous retranchés dans un magasin commercial situé au boulevard Abbes-Laghrour, le «roud essaimin», ont menacé de faire exploser une bonbonne de gaz ou encore s’immoler en s’aspergeant de liquide inflammable.
Ces trois familles ont attiré des foules dès les premières heures de la journée de lundi. Des personnes ont essayé de les raisonner avant l'arrivée des éléments de la Protection civile et des agents de la Sûreté de daïra. Le porte-parole de ces familles a été conduit par un officier de police chez le procureur de la République pour lui soumettre les raisons qui les ont poussés à recourir à une situation de désespoir. Pour rappel, notre journal a traité dans une précédente édition lorsque ces mêmes familles s’étaient rassemblées pacifiquement devant les mêmes magasins brandissant des banderoles demandant aux autorités judiciaires de rouvrir le dossier pour clarifier la propriété légale de ces magasins.
M. C.

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