Le quartier presque mythique de St-Eugène à Oran, appelé aujourd’hui
El Makkari, est le 4e secteur urbain de la commune d’Oran et se trouve
malheureusement abandonné et oublié, alors que son histoire est
ancienne.
Et sans aucune nostalgie, ce quartier a un passé où il faisait bon vivre à l’image de la placette des frères Moulay.
Cette place au cœur du quartier dispose d’un kiosque à musique, qui sert de lieu de rencontre des retraités qui viennent s’y chauffer au soleil et jouer aux jeux de dames ou aux dominos. Des parties interminables et bien disputées.
Malheureusement, ce lieu aujourd’hui est répugnant de saleté voire même dangereux pour les personnes qui le fréquentent. Et pour cause, la plate-forme supérieure du kiosque à musique menace de s’effondrer, les tiges de fer rongées par la rouille sont apparentes et le béton s’effrite chaque jour un peu plus.
Un de ces jours, un drame risque de se produire avec l’écroulement de la plate-forme supérieure, si rien n’est entrepris au plus vite. Autre gros problème, la saleté a aussi envahi les lieux, devenant un dépôt d’ordures qui ne sont pas collectées tous les jours.
En plus, les automobilistes ont pris la mauvaise habitude de transformer la placette en lieu de stationnement. Les retraités n’ont même plus où se reposer à part sur quelques bancs. Alors que le front-de-mer est, une fois encore, en travaux d’embellissement, pourquoi la mairie ne se soucie plus de la placette des frères Moulay et du bien-être de nos anciens ?
Fayçal Moulay
Et sans aucune nostalgie, ce quartier a un passé où il faisait bon vivre à l’image de la placette des frères Moulay.
Cette place au cœur du quartier dispose d’un kiosque à musique, qui sert de lieu de rencontre des retraités qui viennent s’y chauffer au soleil et jouer aux jeux de dames ou aux dominos. Des parties interminables et bien disputées.
Malheureusement, ce lieu aujourd’hui est répugnant de saleté voire même dangereux pour les personnes qui le fréquentent. Et pour cause, la plate-forme supérieure du kiosque à musique menace de s’effondrer, les tiges de fer rongées par la rouille sont apparentes et le béton s’effrite chaque jour un peu plus.
Un de ces jours, un drame risque de se produire avec l’écroulement de la plate-forme supérieure, si rien n’est entrepris au plus vite. Autre gros problème, la saleté a aussi envahi les lieux, devenant un dépôt d’ordures qui ne sont pas collectées tous les jours.
En plus, les automobilistes ont pris la mauvaise habitude de transformer la placette en lieu de stationnement. Les retraités n’ont même plus où se reposer à part sur quelques bancs. Alors que le front-de-mer est, une fois encore, en travaux d’embellissement, pourquoi la mairie ne se soucie plus de la placette des frères Moulay et du bien-être de nos anciens ?
Fayçal Moulay
