«Nous avons gagné par voie judiciaire l’ex-GME
(grande menuiserie de l’est) et actuel AMN-Divindis, durant quatre
procès consécutifs nonobstant les pourvois en cassation de ladite
entreprise et ce, afin de percevoir nos indemnités de départ.
Malheureusement, l’entreprise ne veut, en aucune manière, appliquer les décisions de justice. Un calvaire qui dure depuis plus de 2 années et 6 mois», ont indiqué des représentants des travailleurs retraités qui ne savent plus ou donner de la tête face à un déni d’un droit garanti par la loi et d’ajouter que «même l’huissier de justice ne veut point appliquer les décisions de justice au motif qu’il existe un vice de forme dans l’exécution elle-même. On ne sait vraiment pas quoi faire. Il y a des retraités qui sont malades et alités dont l’état de santé mérite des soins dans des cliniques privées mais qui, faute d’argent, sont actuellement dans une situation délicate. Les indemnités sont une bouée de sauvetage pour beaucoup de retraités de la CNR, sachant que nous avons une retraite de misère, en ces temps d’inflation galopante».
Par ailleurs, d’autres retraités ont indiqué que «l’entreprise n’a pas procédé à la régularisation de leurs postes respectifs avec 3 catégories afin de bénéficier d’une petite augmentation de la retraite. Une autre entorse aux lois du travail».
Nos multiples tentatives de joindre le premier responsable de l’entreprise AMN-Divindis furent vaines.
In fine, cette entreprise dispose de moyens matériels incommensurables et de grands hangars pouvant faire d’elle un fleuron incontournable de l’industrie du bois et là, c’est une autre histoire qui fait très mal.
Daoud Allam
Malheureusement, l’entreprise ne veut, en aucune manière, appliquer les décisions de justice. Un calvaire qui dure depuis plus de 2 années et 6 mois», ont indiqué des représentants des travailleurs retraités qui ne savent plus ou donner de la tête face à un déni d’un droit garanti par la loi et d’ajouter que «même l’huissier de justice ne veut point appliquer les décisions de justice au motif qu’il existe un vice de forme dans l’exécution elle-même. On ne sait vraiment pas quoi faire. Il y a des retraités qui sont malades et alités dont l’état de santé mérite des soins dans des cliniques privées mais qui, faute d’argent, sont actuellement dans une situation délicate. Les indemnités sont une bouée de sauvetage pour beaucoup de retraités de la CNR, sachant que nous avons une retraite de misère, en ces temps d’inflation galopante».
Par ailleurs, d’autres retraités ont indiqué que «l’entreprise n’a pas procédé à la régularisation de leurs postes respectifs avec 3 catégories afin de bénéficier d’une petite augmentation de la retraite. Une autre entorse aux lois du travail».
Nos multiples tentatives de joindre le premier responsable de l’entreprise AMN-Divindis furent vaines.
In fine, cette entreprise dispose de moyens matériels incommensurables et de grands hangars pouvant faire d’elle un fleuron incontournable de l’industrie du bois et là, c’est une autre histoire qui fait très mal.
Daoud Allam
