Les habitants du centre de Amroussa, dans la nouvelle-ville de
Bouinan, à 20 kilomètres à l’est de Blida, ont observé hier un mouvement
de protestation pour réclamer la mise en place de projets de
développement dans leur localité.
Cette protestation est justifiée par l’absence, disent-ils, de moyens leur permettant de vivre décemment alors qu’ils se trouvent en pleine nouvelle-ville. Et c’est la raison pour laquelle, ajoutent les protestataires, ils ne pouvaient plus se taire sur cette situation qui, selon eux, a trop duré d’autant que certains de ces habitants continuent à utiliser des fosses septiques alors qu’à quelques centaines de mètres plus loin, s’érigent des immeubles de luxe. Dans le même contexte, certains citoyens de cette localité ne sont pas raccordés au réseau d’eau potable, affirment-ils.
Par ailleurs, ces protestataires se plaignent du mauvais état des routes abîmées par le passage récurrent des camions pour les besoins des projets de construction de la nouvelle-ville.
Il n’y a pas que ça qui a suscité leur courroux. Ces derniers appréhendent, en effet, des inondations en raison du remblayage des oueds de cette région.
Alors qu’il est dit que 60 milliards de centimes sont consacrés à l’aménagement de leur localité, soutiennent les habitants de Amroussa, il n’en demeure pas moins qu’un grand nombre de jeunes sont sans emploi au moment où beaucoup d’entre eux possèdent des qualifications professionnelles assez intéressantes pour d’éventuelles embauches.
M. B.
Cette protestation est justifiée par l’absence, disent-ils, de moyens leur permettant de vivre décemment alors qu’ils se trouvent en pleine nouvelle-ville. Et c’est la raison pour laquelle, ajoutent les protestataires, ils ne pouvaient plus se taire sur cette situation qui, selon eux, a trop duré d’autant que certains de ces habitants continuent à utiliser des fosses septiques alors qu’à quelques centaines de mètres plus loin, s’érigent des immeubles de luxe. Dans le même contexte, certains citoyens de cette localité ne sont pas raccordés au réseau d’eau potable, affirment-ils.
Par ailleurs, ces protestataires se plaignent du mauvais état des routes abîmées par le passage récurrent des camions pour les besoins des projets de construction de la nouvelle-ville.
Il n’y a pas que ça qui a suscité leur courroux. Ces derniers appréhendent, en effet, des inondations en raison du remblayage des oueds de cette région.
Alors qu’il est dit que 60 milliards de centimes sont consacrés à l’aménagement de leur localité, soutiennent les habitants de Amroussa, il n’en demeure pas moins qu’un grand nombre de jeunes sont sans emploi au moment où beaucoup d’entre eux possèdent des qualifications professionnelles assez intéressantes pour d’éventuelles embauches.
M. B.
