Les pluies enregistrées ces
derniers jours, 40 mm, rendent l’espoir aux céréaliers. Des
précipitations, selon les services locaux de la météorologie, appelées à
évoluer durant les prochains jours.
Il est vrai que le déficit pluviométrique noté durant la saison automnale a fait craindre le pire aux céréaliers, notamment, qui désespéraient de voir éclore les grandes superficies emblavées, d’autant plus que même les possibilités d’irrigation telle l’aspersion se sont vues réduites à la portion congrue en raison de la baisse alarmante du niveau des barrages, particulièrement celui de l’oued Mina qui, d’habitude, grâce à son importante capacité de stockage est capable de prendre en charge à lui seul les besoins en irrigation de toute la partie sud de la wilaya de Relizane où la céréaliculture est généralement la mieux répandue.
La joie est autant ressentie par les maraîchers qui commençaient à prédire une mauvaise passe pour leurs cultures, privées durant de longues semaines de la moindre ondée nécessaire pour leur survie. Même les éleveurs voient leur espoir ravivé à la faveur de cette manne pluviométrique inattendue dans la mesure où les parcours de pâturage, quasi entièrement asséchés, vont ainsi retrouver leur voile verdoyant aux premiers rayons du soleil, synonyme de pérennisation de la production laitière coutumière indispensable, à la limite, à la consommation locale.
A. Rahmane
Il est vrai que le déficit pluviométrique noté durant la saison automnale a fait craindre le pire aux céréaliers, notamment, qui désespéraient de voir éclore les grandes superficies emblavées, d’autant plus que même les possibilités d’irrigation telle l’aspersion se sont vues réduites à la portion congrue en raison de la baisse alarmante du niveau des barrages, particulièrement celui de l’oued Mina qui, d’habitude, grâce à son importante capacité de stockage est capable de prendre en charge à lui seul les besoins en irrigation de toute la partie sud de la wilaya de Relizane où la céréaliculture est généralement la mieux répandue.
La joie est autant ressentie par les maraîchers qui commençaient à prédire une mauvaise passe pour leurs cultures, privées durant de longues semaines de la moindre ondée nécessaire pour leur survie. Même les éleveurs voient leur espoir ravivé à la faveur de cette manne pluviométrique inattendue dans la mesure où les parcours de pâturage, quasi entièrement asséchés, vont ainsi retrouver leur voile verdoyant aux premiers rayons du soleil, synonyme de pérennisation de la production laitière coutumière indispensable, à la limite, à la consommation locale.
A. Rahmane