Placeholder

Rubrique Régions

Tlemcen Les rumeurs sèment la panique

Au début, on abordait le sujet avec un certain sens de l’humour, qui frisait parfois la plaisanterie.
Les choses commencent à changer, et les premiers masques ont fait leur apparition, beaucoup de personnes prennent le risque de contamination au sérieux, d’autant plus que la rumeur fait état de cas avérés çà et là. Bien sûr, ce n’est pour l’heure que radio-trottoir, mais la prévention reste de rigueur.
Face à ce danger, les responsables de la santé sont mobilisés pour insister sur les précautions de prévention et d’hygiène nécessaires à prendre durant cette période. Certains magasins ont été carrément fermés et le personnel des établissements publics porte des gants de protection.
Cependant, reste l’épineux problème de la fréquentation des mosquées, notamment la prière du vendredi, et bien sûr les marches du Hirak.
A défaut d’interdire ou d’émettre des fatwas, la raison et le bon sens suffiront à mettre tout le monde d’accord. Notons qu’aucun cas n’a été recensé dans tout le territoire de la wilaya de Tlemcen.
M. Zenasni

Accidents de la route
Les campagnes de sensibilisation semblent inutiles

À chaque fois que le nombre de victimes des accidents de la route augmente, les différents services de sécurité se rabattent sur ces campagnes de sensibilisation, en organisant des portes ouvertes suivies d’un battage médiatique pour dénoncer ce fléau.
Visiblement, cela ne sert pas à grand-chose. Depuis plus de vingt ans, les appels à la raison et au civisme sont lancés, mais le nombre de morts ne cesse d’augmenter. Le temps des campagnes est révolu, il existe des lois et il faut les faire appliquer par ceux qui en ont la charge.
Il y a quelque temps, une campagne de ce genre a été organisée dans la wilaya de Tlemcen, qui a réuni les principaux concernés, sauf qu’au lendemain de cette initiative, rien n’a changé. Un exemple frappant, les jeunes qui roulent en motos ne portent jamais de casque de sécurité et font des rallyes en pleine agglomération, mettant la vie des citoyens en danger.
Ces motards ne passent pas inaperçus, ils sont partout et personne ne les rappelle à l’ordre. Alors, trêve de campagnes inutiles, quand on ne peut pas verbaliser un simple deux-roues pour non-port de casque.
M. Z.

Placeholder

Multimédia

Plus

Placeholder