435 affaires criminelles et
délictuelles attentatoires aux personnes et aux biens ont été
enregistrées durant le mois de septembre dernier, à travers les Sûretés
urbaines et de daïra de la wilaya de Mostaganem, a-t-on relevé dans le
dernier communiqué dressé par la cellule de communication de la sûreté
de wilaya.
Des affaires élucidées à hauteur de 79,31%, dans lesquelles 447 personnes étaient impliquées dont 30 femmes, 30 mineurs et 26 étrangers.
Parmi les inculpés, 43 présumés coupables ont été écroués à l’issue de leur présentation devant les procureurs de la République près des trois tribunaux tandis que 49 prévenus sont cités en comparution directe devant le tribunal, 35 personnes ont bénéficié d’un non-lieu, 5 autres sont sous contrôle judiciaire et 41 autres demeurent en fuite. Au registre de la lutte contre la toxicomanie, en sus des arrestations, les services de Sûreté ont procédé à la saisie d’une quantité de 48,43 grammes de kif traité et 284 comprimés de produits de psychotropes, détournés de leur destination médicale.
A. B.
Des affaires élucidées à hauteur de 79,31%, dans lesquelles 447 personnes étaient impliquées dont 30 femmes, 30 mineurs et 26 étrangers.
Parmi les inculpés, 43 présumés coupables ont été écroués à l’issue de leur présentation devant les procureurs de la République près des trois tribunaux tandis que 49 prévenus sont cités en comparution directe devant le tribunal, 35 personnes ont bénéficié d’un non-lieu, 5 autres sont sous contrôle judiciaire et 41 autres demeurent en fuite. Au registre de la lutte contre la toxicomanie, en sus des arrestations, les services de Sûreté ont procédé à la saisie d’une quantité de 48,43 grammes de kif traité et 284 comprimés de produits de psychotropes, détournés de leur destination médicale.
A. B.
Le président de l’APC de Aïn Sidi-Chérif suspendu de ses fonctions
Après plusieurs affaires ayant eu maille à partir avec la justice,
cette fois, c’est au tour du premier magistrat de la commune de Aïn
Sidi-Chérif qui vient d’être suspendu de ses fonctions par le chef de
l’exécutif, M. Rabehi Mohamed Abdenour. La décision de suspension
intervient en application de l’article 43 de la loi 10/11 du code
communal qui donne les pleins pouvoirs au wali de suspendre ou de mettre
fin aux fonctions d’un maire à la suite d’une poursuite ou d’une
condamnation prononcée par une juridiction.
A. B.