Il s’agit, en effet, d’une partie de la clôture de l’établissement qui risque de s’effondrer à tout moment, affirme une parente d’élève. Celle-ci n’a pas caché sa crainte et sa colère vis-à-vis d’un problème soulevé à maintes reprises aux services de l’APC, mais en vain. Selon un instituteur, l’APC a été officiellement saisie mais aucune suite, malheureusement, n’a été donnée aux nombreux écrits de l’administration de l’école.
«Faut-il qu’un drame arrive pour que les responsables de la commune bougent et entament les travaux de réhabilitation de la clôture, ou plutôt d’une partie de la clôture», s’interroge notre interlocuteur.
La balle est, désormais, dans le camp des services municipaux appelés à intervenir pour éviter le pire.
A. Rahmane
L’auteur d’un viol en détention provisoire
Dans la matinée d’hier mercredi, l’auteur d’un viol a été placé en
détention provisoire, par le procureur de la République près le tribunal
de Relizane, sous les chefs d’inculpation «attentat à la pudeur», selon
un communiqué rendu public hier par le chargé de la cellule de
communication de la Sûreté de wilaya de Relizane. La genèse de cette
affaire de mœurs remonte à lundi, quand une plainte a été déposée par le
père de la victime faisant état du viol de sa fille mineure, âgée de 16
ans. Le délit a été commis à l’arrière-boutique d’un magasin, géré par
le propriétaire.
Le mis en cause qui a semé la peur au sein des familles relizanaises a
été neutralisé, au grand soulagement de la population.
A. R.