Les statistiques présentées par les services de la Protection civile
restent très inquiétantes, car le monoxyde de carbone continue, vaille
que vaille, d’emporter des vies humaines, plutôt de faucher des familles
entières.
Ce phénomène persiste malgré la vulgarisation et les différentes campagnes de sensibilisation organisées, que ce soit, par les éléments de la Société d’électricité et de gaz (SDE), ceux de la Protection civile et même les services du commerce, par le biais des tribunes des mosquées à l’occasion de la prière du vendredi, comme ce fut le cas à la mosquée Ibn Badis de la cité Bensalah, à Mila, lorsque l’imam a cédé le micro à un cadre de la Direction du commerce, en l’occurrence Bida Djamel, chef de service de la protection des consommateurs et de la répression des fraudes, qui a expliqué aux nombreux fidèles présents, le processus de fonctionnement, la mauvaise utilisation et les dangers qui peuvent en découler, les mauvaises habitudes à éviter et les réflexes et comportements à tenir, en cas d’intoxication au monoxyde de carbone. En effet, l’intervenant à mis en garde contre les appareils de chauffage ou autres fonctionnant mal ou placés dans des pièces ou endroits mal aérés car pouvant provoquer des intoxications au CO, lié à une combustion insuffisante ; radiateurs, chauffe eau, poêles, et cheminées en sont souvent à l’origine. Etant donné que le monoxyde de carbone est un gaz toxique, qui plus est, incolore, inodore et non irritant, Il est difficilement détecté et se diffuse très vite dans l’environnement, causant d’importants problèmes de santé, souvent dramatiques ! «Les premiers symptômes qui doivent alerter les gens sont les vomissements, les nausées, les maux de tête et les vertiges, soyez vigilants devant ces signes avant-coureurs», martèle-t-il, tout en expliquant les premiers gestes préventifs à entreprendre, comme l’aération des lieux afin de s’assurer une bonne évacuation des gaz de combustion, entre autres. Devant tant de dégâts au sein des familles, la sensibilisation tous azimuts reste de mise, elle est primordiale même, surtout devant l’inadvertance et l’imprudence de nos concitoyens !
A. M’haimoud
Ce phénomène persiste malgré la vulgarisation et les différentes campagnes de sensibilisation organisées, que ce soit, par les éléments de la Société d’électricité et de gaz (SDE), ceux de la Protection civile et même les services du commerce, par le biais des tribunes des mosquées à l’occasion de la prière du vendredi, comme ce fut le cas à la mosquée Ibn Badis de la cité Bensalah, à Mila, lorsque l’imam a cédé le micro à un cadre de la Direction du commerce, en l’occurrence Bida Djamel, chef de service de la protection des consommateurs et de la répression des fraudes, qui a expliqué aux nombreux fidèles présents, le processus de fonctionnement, la mauvaise utilisation et les dangers qui peuvent en découler, les mauvaises habitudes à éviter et les réflexes et comportements à tenir, en cas d’intoxication au monoxyde de carbone. En effet, l’intervenant à mis en garde contre les appareils de chauffage ou autres fonctionnant mal ou placés dans des pièces ou endroits mal aérés car pouvant provoquer des intoxications au CO, lié à une combustion insuffisante ; radiateurs, chauffe eau, poêles, et cheminées en sont souvent à l’origine. Etant donné que le monoxyde de carbone est un gaz toxique, qui plus est, incolore, inodore et non irritant, Il est difficilement détecté et se diffuse très vite dans l’environnement, causant d’importants problèmes de santé, souvent dramatiques ! «Les premiers symptômes qui doivent alerter les gens sont les vomissements, les nausées, les maux de tête et les vertiges, soyez vigilants devant ces signes avant-coureurs», martèle-t-il, tout en expliquant les premiers gestes préventifs à entreprendre, comme l’aération des lieux afin de s’assurer une bonne évacuation des gaz de combustion, entre autres. Devant tant de dégâts au sein des familles, la sensibilisation tous azimuts reste de mise, elle est primordiale même, surtout devant l’inadvertance et l’imprudence de nos concitoyens !
A. M’haimoud
