La salle Benmansour de Kifane à Tlemcen a abrité ce
samedi le festival des arts martiaux et de l’aérobic. Cette
manifestation organisée par l’association de wilaya «Sports et loisirs
Belair» de Tlemcen a ravi le public venu nombreux voir ce spectacle où
les enfants étaient les véritables acteurs lors de cette journée riche
en surprises et en émotions.
Que vous soyez adeptes des arts martiaux et sports de combat ou simple curieux, cet évènement mythique a réuni les arts martiaux des plus traditionnels aux plus modernes. Il y avait le kick boxing, le judo, le kyoko chin kay, le body attack body combat et, avec en prime, l’aérobic pour les enfants autistes.
Ainsi, la responsable de cette organisation, Trari Medjaoui Nawal, nous a fait savoir qu’une sélection de 100 athlètes dont 10 filles, toutes disciplines confondues, a été effectuée sur les centaines d’athlètes-enfants que compte l’association. Pour Nawal, l’objectif de ce festival, elle l’exprime ainsi : «J’adore les enfants, ils sont l’avenir et ils méritent qu’ils démontrent leur capacité au public. Aussi, il est de notre devoir de montrer aux parents l’évolution de leurs enfants.
Ce festival, c’est la santé et il est contre tous les fléaux. Nous nous penchons également sur les autistes qui ont le droit le plus absolu de faire du sport.» Ce festival grandiose dépasse de loin la subvention qu’on lui accorde.
Tout y était prévu dans cette organisation, sauf l’absence des autorités. Pourtant, c’était le produit «avenir» qui était sur les tatamis, c’était le moment de lui faire honneur. Dommage !
M. Z.
Que vous soyez adeptes des arts martiaux et sports de combat ou simple curieux, cet évènement mythique a réuni les arts martiaux des plus traditionnels aux plus modernes. Il y avait le kick boxing, le judo, le kyoko chin kay, le body attack body combat et, avec en prime, l’aérobic pour les enfants autistes.
Ainsi, la responsable de cette organisation, Trari Medjaoui Nawal, nous a fait savoir qu’une sélection de 100 athlètes dont 10 filles, toutes disciplines confondues, a été effectuée sur les centaines d’athlètes-enfants que compte l’association. Pour Nawal, l’objectif de ce festival, elle l’exprime ainsi : «J’adore les enfants, ils sont l’avenir et ils méritent qu’ils démontrent leur capacité au public. Aussi, il est de notre devoir de montrer aux parents l’évolution de leurs enfants.
Ce festival, c’est la santé et il est contre tous les fléaux. Nous nous penchons également sur les autistes qui ont le droit le plus absolu de faire du sport.» Ce festival grandiose dépasse de loin la subvention qu’on lui accorde.
Tout y était prévu dans cette organisation, sauf l’absence des autorités. Pourtant, c’était le produit «avenir» qui était sur les tatamis, c’était le moment de lui faire honneur. Dommage !
M. Z.