L'agence antidopage espagnole a ouvert cette semaine
une enquête sur l'attaquant russe de Valence Denis Cheryshev, une des
révélations du Mondial-2018, selon un porte-parole de l'agence
antidopage espagnole (AEPSAD).
«Une enquête a été ouverte pour connaître tous les faits relatifs à cette affaire», a-t-il déclaré. «L'enquête se fait en collaboration avec l'agence antidopage russe et en contact permanent avec l'Agence mondiale antidopage (AMA) qui est au courant de l'affaire et sera informée des conclusions», a-t-il dit. «A aucun moment nous ne parlons d'un dopage présumé, parce que nous ne sommes pas en présence d'une analyse défavorable», a, cependant, souligné ce porte-parole. Selon le journal russe Sport-Express, l'affaire a débuté après une interview du père de Denis Cheryshev, l'ancien attaquant international Dmitri Cheryshev, qui avait assuré en juin 2017 au journal Week-End Sport que son fils avait reçu des injections d'hormones de croissance quand il jouait à Villarreal (Espagne). La prise d'hormones de croissance sans autorisation médicale peut entraîner une suspension de quatre ans. Dmitri Cheryshev a par la suite affirmé que ses propos avaient été déformés par les journalistes. «Suite aux déclarations ayant émergé sur cette affaire, l'agence espagnole veut connaître toutes les données pour pouvoir avoir accès à toute l'information», a déclaré le porte-parole de l'AEPSAD, sans préciser s'il s'agissait des déclarations de Dmitri Cheryshev. Denis Cheryshev, qui appartient toujours à Villarreal mais a été prêté cette saison à Valence, affirme n'avoir rien à se reprocher. «Je pense qu'il vaut mieux laisser cette affaire aux médecins, qui ont tout fait dans les règles», a affirmé l'attaquant de 27 ans à Sport-Express. «De mon côté, tout était honnête et je pense qu'il n'y aura pas de problèmes», a-t-il ajouté. Denis Cheryshev a été la révélation de la Sbornaïa lors du dernier Mondial, au cours duquel il a inscrit quatre buts.
«Une enquête a été ouverte pour connaître tous les faits relatifs à cette affaire», a-t-il déclaré. «L'enquête se fait en collaboration avec l'agence antidopage russe et en contact permanent avec l'Agence mondiale antidopage (AMA) qui est au courant de l'affaire et sera informée des conclusions», a-t-il dit. «A aucun moment nous ne parlons d'un dopage présumé, parce que nous ne sommes pas en présence d'une analyse défavorable», a, cependant, souligné ce porte-parole. Selon le journal russe Sport-Express, l'affaire a débuté après une interview du père de Denis Cheryshev, l'ancien attaquant international Dmitri Cheryshev, qui avait assuré en juin 2017 au journal Week-End Sport que son fils avait reçu des injections d'hormones de croissance quand il jouait à Villarreal (Espagne). La prise d'hormones de croissance sans autorisation médicale peut entraîner une suspension de quatre ans. Dmitri Cheryshev a par la suite affirmé que ses propos avaient été déformés par les journalistes. «Suite aux déclarations ayant émergé sur cette affaire, l'agence espagnole veut connaître toutes les données pour pouvoir avoir accès à toute l'information», a déclaré le porte-parole de l'AEPSAD, sans préciser s'il s'agissait des déclarations de Dmitri Cheryshev. Denis Cheryshev, qui appartient toujours à Villarreal mais a été prêté cette saison à Valence, affirme n'avoir rien à se reprocher. «Je pense qu'il vaut mieux laisser cette affaire aux médecins, qui ont tout fait dans les règles», a affirmé l'attaquant de 27 ans à Sport-Express. «De mon côté, tout était honnête et je pense qu'il n'y aura pas de problèmes», a-t-il ajouté. Denis Cheryshev a été la révélation de la Sbornaïa lors du dernier Mondial, au cours duquel il a inscrit quatre buts.
