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Rubrique Sports

LE CENTRE DE REGROUPEMENT DES ÉQUIPES NATIONALES d’OUM-EL-BOUAGHI Une relance à outrance

Lors d'une visite de travail et d'inspection effectuée par le chef de l'exécutif dans la daïra de Aïn Beïda, ce dernier accompagné du directeur de la jeunesse et des sports ainsi que du chef de daïra de Aïn Beïda s'est longuement attardé au niveau du projet du centre de regroupement des équipes nationales. Situé sur les hauteurs du mont Aïn Chedjra, un col qui dépasse les 1 200 mètres d'altitude dans un lieu paradisiaque, entouré d'une dense forêt centenaire a été lancé en 2013 puis, pour des raisons financières, le projet a connu un arrêt en 2014 pour être relancé en 2018 pour une enveloppe de plus de 100 milliards de centimes. Hier, lors de cette visite, une fiche technique a été présentée par le bureau d'études chargé du suivi de ce complexe. actuellement, les travaux ont atteint un taux de réalisation de 40% et l'entreprise de réalisation semble mettre le paquet pour parachever le projet avant les délais impartis, puisque toute une armada de moyens humains et matériels sont sur le terrain, une flotte d'engins et une quarantaine de travailleurs sont déployés. Pour le complexe où pas moins d'une douzaine de disciplines sont pratiquées, celui-ci est composé de 5 stades (stades et répliques), une salle OMS, une grande piscine, une salle de récupération, un hôtel de 80 lits et une administration de gestion où toutes les commodités et autres servitudes seront disponibles avant sa réception. Selon M. Hadjadj M., qui a fait une déclaration à notre journal «ce complexe une fois achevé, offrira toutes les commodités nécessaires et permettra à plusieurs équipes sportives de venir faire des stages ici, c'est un lieu qui n'a rien à envier aux autres fréquentés par nos équipes sportives toutes disciplines confondues» et d'ajouter «regardez la forêt qui nous entoure, on ne la trouve pas dans les centres visités par nos équipes ailleurs». Lors de cette visite, le chef de l'exécutif a recommandé l'exploration d'un fonçage ou plutôt un forage de profondeur dépassant les 300 mètres, car cette région a connu un stress hydrique depuis plus de 10 ans. ce forage profitera au chantier et servira au complexe une fois livré. il servira aussi à alimenter plus d'une dizaine de foyers dans l'environnement immédiat du complexe.
Moussa Chtatha
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