Avec une enveloppe financière avoisinant 37% du budget du secteur,
les œuvres universitaires continuent de souffrir de «lacunes» de l’aveu
même du ministre de l’Enseignement supérieur. Tahar Hadjar promet une
amélioration grâce à une «vision prospective participative qui fera
l’objet d’une conférence nationale sur les œuvres universitaires à
laquelle prendront part l’ensemble des acteurs du secteur afin d’arriver
à une plus grande coordination.
Hadjar donne le la en plaidant pour une rationalisation des dépenses.
N. I.
N. I.