Le SG du FLN était, hier, à Aïn Defla où il a réuni
des militants venus de 10 mouhafadas du centre du pays.
Après avoir évoqué l’histoire de la région, il en vient à rappeler le
grand événement de l’arrivée à la tête de l’Etat, le président de la
République, Abdelaziz Bouteflika.
A ce sujet, il dira : «Dieu nous a accordé sa bénédiction pour élire
Abdelaziz Bouteflika.»
A ce niveau, il dresse un bilan de ce qui a été fait depuis 1999. «La Concorde civile, le retour de la paix, le paiement de la dette extérieure, la multitude des lycées et des universités, la baisse du chômage de 32 à 9%...».
Puis, Ould-Abbès entre dans le vif du sujet, à savoir la campagne électorale pour les sénatoriales de décembre prochain et la présidentielle pour avril 2019.
A ce sujet, il affirme : «Le FLN se porte bien, nous avons la majorité dans toutes les instances politiques et nous nous mobilisons encore plus pour accroître cette majorité en laissant un peu pour les autres.»
Là, il marque un temps d’arrêt pour rappeler l’échec crucial pour ne pas parler de déroute du FLN au profit du RND à Chlef lors des dernières législatives.
A ce sujet, il dira : «J’irai à Chlef accompagné cette fois de tout le BP pour examiner la situation et prendre les décisions les plus nécessaires.»
Revenant au bilan à mettre à l’actif de Abdelaziz Bouteflika, Djamel Ould-Abbès parle de leïlat el kadr I et II (nuit du destin) : «N’est-ce pas leïlat el kadr pour 250 000 familles qui ont été logées le 27e jour du Ramadhan, 56 000 autres à qui on a attribué un toit le 5 juillet dernier ?
Faisant des projections, Ould-Abbès dira : «Nous œuvrons pour garder et renforcer la majorité du FLN et depuis quelques mois, nous sommes en discussions avec 27 formations politiques non pas pour une coalition mais pour un consensus sur un candidat unique.»
A ce sujet, il dira : «Chacun a le droit de se porter candidat à la magistrature suprême mais la présidence n’est ni un bien vacant ni un Souk-el-Fellah.»
Ould-Abbès n’omet pas, bien sûr, de faire un clin d’œil aux tenants de l’amazighité : «Bouteflika a résolu de manière très pédagogique cette question.»
Durant la dernière partie de son discours, des voix se sont élevées pour contester les promesses de régularité et de choix des cadres du FLN. «Taisez-vous !», a-t-il répété plus d’une fois en ajoutant : «Assoul, faites-moi évacuer ces perturbateurs, en ajoutant, vous voyez ce qu’a fait la démocratie ?»
Karim O.
A ce niveau, il dresse un bilan de ce qui a été fait depuis 1999. «La Concorde civile, le retour de la paix, le paiement de la dette extérieure, la multitude des lycées et des universités, la baisse du chômage de 32 à 9%...».
Puis, Ould-Abbès entre dans le vif du sujet, à savoir la campagne électorale pour les sénatoriales de décembre prochain et la présidentielle pour avril 2019.
A ce sujet, il affirme : «Le FLN se porte bien, nous avons la majorité dans toutes les instances politiques et nous nous mobilisons encore plus pour accroître cette majorité en laissant un peu pour les autres.»
Là, il marque un temps d’arrêt pour rappeler l’échec crucial pour ne pas parler de déroute du FLN au profit du RND à Chlef lors des dernières législatives.
A ce sujet, il dira : «J’irai à Chlef accompagné cette fois de tout le BP pour examiner la situation et prendre les décisions les plus nécessaires.»
Revenant au bilan à mettre à l’actif de Abdelaziz Bouteflika, Djamel Ould-Abbès parle de leïlat el kadr I et II (nuit du destin) : «N’est-ce pas leïlat el kadr pour 250 000 familles qui ont été logées le 27e jour du Ramadhan, 56 000 autres à qui on a attribué un toit le 5 juillet dernier ?
Faisant des projections, Ould-Abbès dira : «Nous œuvrons pour garder et renforcer la majorité du FLN et depuis quelques mois, nous sommes en discussions avec 27 formations politiques non pas pour une coalition mais pour un consensus sur un candidat unique.»
A ce sujet, il dira : «Chacun a le droit de se porter candidat à la magistrature suprême mais la présidence n’est ni un bien vacant ni un Souk-el-Fellah.»
Ould-Abbès n’omet pas, bien sûr, de faire un clin d’œil aux tenants de l’amazighité : «Bouteflika a résolu de manière très pédagogique cette question.»
Durant la dernière partie de son discours, des voix se sont élevées pour contester les promesses de régularité et de choix des cadres du FLN. «Taisez-vous !», a-t-il répété plus d’une fois en ajoutant : «Assoul, faites-moi évacuer ces perturbateurs, en ajoutant, vous voyez ce qu’a fait la démocratie ?»
Karim O.
