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EXAMENS DE FIN D’ANNÉE Le ministère promet un bac sécurisé

C’est des examens sous haute surveillance que le ministère de l’Education promet d’organiser. Des mesures ont été prises pour sécuriser les sujets dès leur élaboration jusqu’à leur distribution au niveau des centres d’examen. Plus de deux millions de candidats sont attendus pour les trois examens de fin de cycle.
Nawal Imès - Alger (Le Soir) - Comme à chaque fin d’année, le volet lié à la sécurité des examens nationaux prend le dessus sur les questions purement pédagogiques.
Pour cette édition qui intervient dans un contexte de mouvement populaire, le ministère de l’Education promet des mesures devant permettre de venir à bout des tentatives de fraude.
La directrice de l’évaluation et de la prospective au niveau du ministère de l’Education affirmait hier sur le sondes de la Chaîne 3 de la Radio nationale que la commission nationale de sécurité chargée du suivi des examens est déjà mise en place et veillera à mettre en œuvre l’ensemble du dispositif nécessaire pour le bon déroulement des examens depuis l’élaboration des sujets jusqu’à leur distribution au niveau des centres d’examen.
Des caméras de surveillance seront installées ainsi que des brouilleurs en fonction de moyens disponibles. Samia Mezaib assure que la couverture de l’exécution des programmes est satisfaisante au plan national. Elle est meilleure que l’année dernière, dit-elle.
Plus de deux millions d’élèves concernés par les trois examens nationaux, à savoir celui de fin de cycle primaire, moyen et secondaire. Pour ce dernier, ils seront plus de 800 000 à tenter de décrocher le fameux sésame pour l’université. Impossible, affirme l’invitée de la rédaction, d’avancer un pronostic mais, dit-elle, l’inspection générale de la pédagogie a fait un suivi des établissements scolaires au niveau de l’exécution des programmes afin de s’assurer de la bonne préparation des candidats. Comment expliquer les disparités entre wilayas au niveau des résultats ? Samia Mezaib répond que cela peut s’expliquer par le suivi des enseignements par les chefs d’établissements qui sont tenus d’accompagner de manière pédagogique les enseignants mais également l’environnement social qui peut être plus ou moins favorable ou pas.
La progression du taux de réussite ces dix dernières années est très lente, assure-t-elle. Cela peut être considéré comme un indicateur de niveau mais ces taux ne suffisent pas pour évaluer et juger l’efficacité du système.
D’autres outils d’évaluation sont nécessaires. Il s’agit de détecter les établissements qui n’arrivent pas à atteindre les taux nationaux, vérifier leur gestion et la gouvernance mais également sur le plan pédagogique.
N. I.
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