Dans l’objectif de promouvoir le tourisme thermal en
Algérie, une convention de partenariat a été signée hier, à Alger, entre
les ministères du Tourisme et de la Santé. L’initiative vise à
développer une offre touristique intégrée, durable et permettre de
recadrer les médecins spécialistes, qui exercent dans les stations
thermales.
Samira Azzegag - Alger (Le Soir) - Le protocole d’accord vise à réorganiser et relancer le tourisme thermal, tout en en assurant le développement. Et dans ce domaine, l’Algérie compte pas moins de 280 sites thermaux, particulièrement dans le Sud.
La wilaya de Ouargla à elle seule regroupe 19 sources thermales. Des potentialités souvent non exploitées, malheureusement. Selon
M. Lazhar Bounafaâ, du groupe public Hôtellerie tourisme, thermalisme (HTT), 28 sites sont exploités uniquement. «30 autres projets d’envergure sont en cours de réalisation», ajoute le même responsable qui évite de donner plus de détails.
Les sites thermaux constituent une richesse qui pourrait considérablement contribuer à la croissance de l’économie nationale.
Mais pour développer le thermalisme en Algérie, tous les efforts conjugués de toutes les parties prenantes doivent être axés sur la prise en charge du développement de ces sources pour les faire passer de l’exploitation traditionnelle au thermalisme moderne, qui est plus efficace dans les soins, la bonne santé et le bien-être des fervents de ces lieux de vertu, pouvant être rentabilisés.
Une étude a été réalisée, pour classer et recenser les sources répondant aux normes internationales, notamment la température, le flux, la structure minérale et les propriétés thérapeutiques des eaux.
Selon les informations disponibles, des contrats de concession ont été octroyés entre 2011 et 2015 pour l’exploitation de 51 sources thermales, pour leur exploitation et la réalisation de projets touristiques, mais aucune information n’a filtré sur ces projets lancés en 2015.
Les cinq meilleures sources thermales du pays sont les suivantes : la station de Hammam Bouhanifia située à Mascara, Hammam Bouhadjar, Hammam Meskhoutine dans l’agglomération de Guelma, Hammam Boughrara, à 150 km d’Oran et Hammam Righa situé à une centaine de kilomètres au sud-ouest d’Alger la capitale.
S. A.
Samira Azzegag - Alger (Le Soir) - Le protocole d’accord vise à réorganiser et relancer le tourisme thermal, tout en en assurant le développement. Et dans ce domaine, l’Algérie compte pas moins de 280 sites thermaux, particulièrement dans le Sud.
La wilaya de Ouargla à elle seule regroupe 19 sources thermales. Des potentialités souvent non exploitées, malheureusement. Selon
M. Lazhar Bounafaâ, du groupe public Hôtellerie tourisme, thermalisme (HTT), 28 sites sont exploités uniquement. «30 autres projets d’envergure sont en cours de réalisation», ajoute le même responsable qui évite de donner plus de détails.
Les sites thermaux constituent une richesse qui pourrait considérablement contribuer à la croissance de l’économie nationale.
Mais pour développer le thermalisme en Algérie, tous les efforts conjugués de toutes les parties prenantes doivent être axés sur la prise en charge du développement de ces sources pour les faire passer de l’exploitation traditionnelle au thermalisme moderne, qui est plus efficace dans les soins, la bonne santé et le bien-être des fervents de ces lieux de vertu, pouvant être rentabilisés.
Une étude a été réalisée, pour classer et recenser les sources répondant aux normes internationales, notamment la température, le flux, la structure minérale et les propriétés thérapeutiques des eaux.
Selon les informations disponibles, des contrats de concession ont été octroyés entre 2011 et 2015 pour l’exploitation de 51 sources thermales, pour leur exploitation et la réalisation de projets touristiques, mais aucune information n’a filtré sur ces projets lancés en 2015.
Les cinq meilleures sources thermales du pays sont les suivantes : la station de Hammam Bouhanifia située à Mascara, Hammam Bouhadjar, Hammam Meskhoutine dans l’agglomération de Guelma, Hammam Boughrara, à 150 km d’Oran et Hammam Righa situé à une centaine de kilomètres au sud-ouest d’Alger la capitale.
S. A.
