Après les journalistes et techniciens de la Télévision et de la Radio
nationales, c’était le tour, hier mardi, de leurs confrères de l’APS
(Algérie Presse Service) de rejoindre le mouvement populaire.
Ils ont tenu, en effet, dans l’après-midi, un rassemblement devant le siège de l’agence de presse. Avec comme mots d’ordre, comme ils l’ont consigné dans une déclaration, «une réelle ouverture de notre média qui donne la parole à toutes les sensibilités politiques et sociales, sans verser dans la calomnie, l’injure et l’insulte» et «pas d’une ouverture a minima, conjoncturelle ou de circonstance. Et de mettre le doigt sur la nécessité pour l’APS d’«assurer sa mission de service public.
Nous le devons à nos lecteurs, à nos abonnés et aux citoyens. Notre média doit être au service exclusif de la vérité et du citoyen. Notre seule conscience doit être la rigueur, le professionnalisme, l’éthique et la déontologie», poursuivent-ils.
M. K.
Ils ont tenu, en effet, dans l’après-midi, un rassemblement devant le siège de l’agence de presse. Avec comme mots d’ordre, comme ils l’ont consigné dans une déclaration, «une réelle ouverture de notre média qui donne la parole à toutes les sensibilités politiques et sociales, sans verser dans la calomnie, l’injure et l’insulte» et «pas d’une ouverture a minima, conjoncturelle ou de circonstance. Et de mettre le doigt sur la nécessité pour l’APS d’«assurer sa mission de service public.
Nous le devons à nos lecteurs, à nos abonnés et aux citoyens. Notre média doit être au service exclusif de la vérité et du citoyen. Notre seule conscience doit être la rigueur, le professionnalisme, l’éthique et la déontologie», poursuivent-ils.
M. K.