Pour le 2e vendredi consécutif après la tenue de
l’élection présidentielle du 12 décembre dernier, Sidi-Bel-Abbès n’a pas
vécu de Hirak. Les places emblématiques du mouvement populaire
désertées.
En effet, deux vendredis de suite, un dispositif de police assez discret a pris place sur les lieux à savoir sur la place du 1er-Novembre en face du tribunal. Ce qui a probablement dissuadé les plus portés sur le mouvement populaire qui ont renoncé à la manifestation pacifique, préférant rejoindre leurs demeures. Ce vendredi sur la place El Wiam, dans le quartier Sidi-Djilali, quelques jeunes qui ont tenté de se rassembler ont été rapidement dispersés par la police. Pour conclure, nous pouvons dire que Sidi-Bel-Abbès n’a pas renoué avec le Hirak après l’élection présidentielle.
A. M.
En effet, deux vendredis de suite, un dispositif de police assez discret a pris place sur les lieux à savoir sur la place du 1er-Novembre en face du tribunal. Ce qui a probablement dissuadé les plus portés sur le mouvement populaire qui ont renoncé à la manifestation pacifique, préférant rejoindre leurs demeures. Ce vendredi sur la place El Wiam, dans le quartier Sidi-Djilali, quelques jeunes qui ont tenté de se rassembler ont été rapidement dispersés par la police. Pour conclure, nous pouvons dire que Sidi-Bel-Abbès n’a pas renoué avec le Hirak après l’élection présidentielle.
A. M.