Marquée par le maintien de la mobilisation, la marche
ce vendredi 19 avril à Guelma s’est déroulée comme prévu et sans
incidents.
L’acte 9 des manifestants guelmois, qui s’est déroulé encore une fois dans un climat pacifique, a drainé une foule massive. Il s’est aussi illustré par la confirmation du maintien de la mobilisation, « jusqu'à obtention de gain de cause ».
Au boulevard Souidani-Boudjemaa, théâtre de rassemblement des manifestants, depuis le 22 février dernier, « le défilé a tenu ses promesses », s’est félicité un septuagénaire qui était parmi les marcheurs, notant que « la détermination l’a finalement emporté ». « cette mobilisation s’explique par le fait que les manifestants ont davantage suivi les mots d’ordre d’appels au maintien du mouvement populaire, jusqu’à gain de cause », observe un professeur à l’université de Guelma, qui relève aussi une grande détermination chez la famille universitaire de la ville du 8-Mai 1945.
Pour son neuvième vendredi de mobilisation, le mouvement protestataire à Guelma a dénoncé « la sourde oreille du pouvoir », en scandant des slogans contre Bensalah et Bedoui. Des pancartes portant «Elections du 4 juillet, c’est NON ! », les manifestants expriment en effet, leur refus quant à l’organisation du prochain scrutin par le gouvernement Bedoui.
Noureddine Guergour
L’acte 9 des manifestants guelmois, qui s’est déroulé encore une fois dans un climat pacifique, a drainé une foule massive. Il s’est aussi illustré par la confirmation du maintien de la mobilisation, « jusqu'à obtention de gain de cause ».
Au boulevard Souidani-Boudjemaa, théâtre de rassemblement des manifestants, depuis le 22 février dernier, « le défilé a tenu ses promesses », s’est félicité un septuagénaire qui était parmi les marcheurs, notant que « la détermination l’a finalement emporté ». « cette mobilisation s’explique par le fait que les manifestants ont davantage suivi les mots d’ordre d’appels au maintien du mouvement populaire, jusqu’à gain de cause », observe un professeur à l’université de Guelma, qui relève aussi une grande détermination chez la famille universitaire de la ville du 8-Mai 1945.
Pour son neuvième vendredi de mobilisation, le mouvement protestataire à Guelma a dénoncé « la sourde oreille du pouvoir », en scandant des slogans contre Bensalah et Bedoui. Des pancartes portant «Elections du 4 juillet, c’est NON ! », les manifestants expriment en effet, leur refus quant à l’organisation du prochain scrutin par le gouvernement Bedoui.
Noureddine Guergour
