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DISPOSITIF ANSEJ «Pas d’effacement des dettes»

«Pas d’effacement des dettes des bénéficiaires du dispositif Ansej», réitère une fois de plus la directrice générale de ce dispositif, emboîtant ainsi le pas à son ministre de tutelle, celui du travail, de l’Emploi et de la sécurité sociale.

M. Kebci - Alger (Le Soir) - Samira Djaïder, qui était hier  l’invitée de la rédaction matinale de la chaîne 3 de la radio nationale, a été, on ne peut plus claire. Les jeunes promoteurs de projets de l’Agence nationale de soutien  à l’emploi des jeunes et qui sont dans l’incapacité de rembourser les crédits contractés auprès de banques publiques, ne peuvent prétendre à l’effacement de ces prêts comme ils ne cessent de le réclamer de concert avec leurs collègues d’autres dispositifs (Cnac, Anem). 
Et de soutenir qu’un grand nombre de ces promoteurs qu’elle estime à près de 160 000 ont bénéficié d’un «avantage» consistant en l’effacement de leurs pénalités de retard et des intérêts cumulés à la faveur d’une convention signée, en 2017, avec cinq banques publiques.  
Une autre  mesure d’«accompagnement» est accordée à ces promoteurs, ajoutera la première responsable de l’Ansej, qui parlera d’un «nouvel échéancier de remboursement qui permettra à ces jeunes en mal d’apurer leurs situations avec les banques de pourvoir à la «pérennité» de leurs activités. Elle évoquera, dans ce sens, les 21 000 jeunes promoteurs sur 37 000 en difficulté de remboursement qui ont obtenu du Fonds de garantie des prêts à hauteur de 70% du montant du crédit bancaire avec cessation de leurs activités.
Pour la directrice générale de l’Ansej, l’accompagnement des micro-entreprises en difficulté, n’est pas l’affaire des seules agences Ansej mais celle «d’autres secteurs» dont, citera-t-elle, les collectivités locales. Elle parlera de 150 entités qui ont bénéficié de terrains dans des micro-zones d’activités, de l’attribution de 3 000 locaux non utilisés auparavant et de près de 8 800 micro-entreprises qui ont bénéficié de la commande publique.
Elle évaluera à 10% (37 000) le nombre de micro-entreprises financées en difficulté  qui ont sollicité des crédits auprès du fonds de garantie.
Mettant le doigt sur l’échec de micro-entreprises dans certains secteurs d’activité «saturés» et «inadaptés» comme les transports de voyageurs dans les milieux ruraux et urbains, la première responsable de l'Ansej parlera désormais d’«un meilleur ciblage des activités porteuses et créatrices d'emplois», citant «l'agriculture et les technologies de l'information et de la communication (TIC)».
M. K.

 

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