Après les incertitudes de la semaine dernière qui ont
tout de même fini par offrir un petit répit au marché pour voir le cours
du pétrole boucler, vendredi, sur une petite hausse, encouragée par les
tensions impliquant l’Iran et les Etats-Unis ainsi que les perturbations
climatiques en Amérique du Nord, entre autres facteurs, la semaine a été
ouverte, hier lundi, avec de nouvelles perspectives.
La même tendance que celle ayant marqué la fermeture de vendredi, c'est-à-dire une petite hausse, était enregistrée, hier lors de la première partie de la séance de reprise. En effet, à 10h15, heure d’Alger, le baril de Brent de la mer du Nord, pour livraison en septembre, gagnait 0,6% comparé au prix de clôture de vendredi, 67,12 dollars contre 66,72 dollars, sur le marché londonien, alors qu’à New York, le baril de WTI, pour livraison en août, augmentait de 0,30 % par rapport au cours de vendredi soir. Une toute petite hausse liée à l’inquiétude face aux surplus auxquels tous les spécialistes s’attendent. Un surplus sur le marché mondial qui a atteint 0,5 million de barils par jour au second trimestre, selon l’Agence internationale de l’énergie (AIE) qui annonçait auparavant s’attendre à un déficit de 0,5 mbj durant la même période. Une reprise en douce donc, dans un marché extrêmement prudent en raison de la multiplication des donnes qui pourraient influer, dans un sens comme dans l’autre, sur le cours, cette semaine.
Par ailleurs, l’actualité nationale des hydrocarbures a été marquée, ces derniers jours, par l’annonce de la société indonésienne PT Pertamina de revoir ses ambitions à la hausse dans sa production en Algérie.
Un plan de croissance de ce partenaire de Sonatrach a été dévoilé et fait état d’une prévision de la production de pétrole et de gaz à la hausse de 10%. Une production qui en est actuellement à 20 000 barils par jour.
Selon le directeur général de la société publique indonésienne, Denis Tampubolon, la nouvelle ambition de PT Pertamina trouve son essence à partir du lancement prochain d’un programme de forage de 20 puits dans plusieurs champs, nécessitant, soit dit en passant, de nouveaux investissements et la création de nouveaux emplois, et ce, en attendant la confirmation du partenariat avec Sonatrach dans le programme d’exploration offshore, que compte lancer, avant la fin de l’année, en principe, la compagnie nationale.
M. Azedine
La même tendance que celle ayant marqué la fermeture de vendredi, c'est-à-dire une petite hausse, était enregistrée, hier lors de la première partie de la séance de reprise. En effet, à 10h15, heure d’Alger, le baril de Brent de la mer du Nord, pour livraison en septembre, gagnait 0,6% comparé au prix de clôture de vendredi, 67,12 dollars contre 66,72 dollars, sur le marché londonien, alors qu’à New York, le baril de WTI, pour livraison en août, augmentait de 0,30 % par rapport au cours de vendredi soir. Une toute petite hausse liée à l’inquiétude face aux surplus auxquels tous les spécialistes s’attendent. Un surplus sur le marché mondial qui a atteint 0,5 million de barils par jour au second trimestre, selon l’Agence internationale de l’énergie (AIE) qui annonçait auparavant s’attendre à un déficit de 0,5 mbj durant la même période. Une reprise en douce donc, dans un marché extrêmement prudent en raison de la multiplication des donnes qui pourraient influer, dans un sens comme dans l’autre, sur le cours, cette semaine.
Par ailleurs, l’actualité nationale des hydrocarbures a été marquée, ces derniers jours, par l’annonce de la société indonésienne PT Pertamina de revoir ses ambitions à la hausse dans sa production en Algérie.
Un plan de croissance de ce partenaire de Sonatrach a été dévoilé et fait état d’une prévision de la production de pétrole et de gaz à la hausse de 10%. Une production qui en est actuellement à 20 000 barils par jour.
Selon le directeur général de la société publique indonésienne, Denis Tampubolon, la nouvelle ambition de PT Pertamina trouve son essence à partir du lancement prochain d’un programme de forage de 20 puits dans plusieurs champs, nécessitant, soit dit en passant, de nouveaux investissements et la création de nouveaux emplois, et ce, en attendant la confirmation du partenariat avec Sonatrach dans le programme d’exploration offshore, que compte lancer, avant la fin de l’année, en principe, la compagnie nationale.
M. Azedine