L’ann�e 2004 a �t� une ann�e pleine de bonnes et mauvaises choses. Parmi ces derni�res, il convient de citer le terrible drame v�cu par l’Alg�rie � la suite du tremblement de terre qui a secou� Alger et sa p�riph�rie. Cette trag�die qui hante encore tous les esprits a laiss� des s�quelles que seul le temps et l’espoir renaissant pourront effacer.
Au plan sportif, l’�v�nement le plus marquant a �t� sans conteste la quasi-�limination de l’�quipe nationale pour la prochaine Coupe du monde 2006. Notre onze qui n’arrive pas � d�coller est, � l’image de la d�liquescence du football national, en proie � ses insuffisances et � ses contradictions. Sur un autre volet, le manque flagrant d’infrastructures sportives auquel vient se greffer la recrudescence inqui�tante de la violence sur nos stades sont autant de probl�mes qui doivent �tre pris � bras-lecorps car ils constituent la face visible d’un probl�me de fond s�rieux et grave qui n�cessite une prise en charge s�rieuse et soutenue de tous les acteurs de la vie civile � quelque niveau de responsabilit� qu’ils soient (dirigeants, athl�tes, arbitres, autorit�s locales et sportives, ligues, f�d�rations et minist�res concern�s). Il y a lieu �galement de ne pas occulter les mauvais r�sultats enregistr�s par les autres disciplines aux Jeux d’Ath�nes, m�me si ceux obtenus durant les Jeux panarabes ont quelque peu att�nu� cet impact n�gatif. S’agissant des bonnes choses, il faut noter la disparition quasi totale de l’ins�curit� qui a troubl� jusqu’alors la vie du pays et des citoyens, l’espoir d’une vie meilleure, et d’un envol �conomique pr�visible souhait�, qui sans nul doute apportera le rem�de tant attendu pour combattre les maux sociaux qui ont grandement port� pr�judice au pays. Enfin, et en ce qui concerne le Mouloudia Club d’Alger, que nous ch�rissons par dessus tout, si l’ann�e 2004 a permis son retour parmi l’�lite, nous avons l’espoir que l’ann�e 2005 sera celle du renouveau, de la refondation du club et de l’obtention de succ�s souhait�s par tous et pour lesquels nous œuvrons au quotidien.
N. B.

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