Dans des correspondances adress�s au ministre de l�Int�rieur, au wali, au chef de la da�ra de Hammam- Bou-Hadjar et au chef de S�ret� de la wilaya, 35 des 100 b�n�ficiaires de logements de type LSP de la cit� Mohamed-Boudiaf, sollicitent l�intervention des responsables pr�cit�s afin d�annuler le paiement suppl�mentaire �valu� � 14,5 millions millions de centimes, faute de quoi, leurs dossiers seront rejet�s et les contrats de souscription r�sili�es pourtant, disent les 35 b�n�ficiaires, �au d�part les responsables F3 et F4, et nous nous sommes acquitt�s de ces montants en 2002, le d�lai de r�alisation ne devrait pas d�passer les 12 mois malheureusement ce d�lai n�a pas �t� respect� pour plusieurs raisons.

Trois ann�es plus tard, le directeur de cette agence nous ordonna de payer des rallonges de 17,5 millions de centimes, au motif que les co�ts des logements ont �t� revus � la hausse � cause des prix des mat�riaux de construction et du retard accus� dans la r�alisation, etc.� Les int�ress�s ont �videmment refus� de payer du fait que suivant les cahiers de charges sign�s avec l�agence, les co�ts des logements ont �t� fix�s � 45 et 55 millions, et que les logements doivent �tre dot�s de chauffe-bain, de vitrerie, de plomberie, de portes et autres commodit�s. Devant leur refus, l�agence fonci�re a revu � la baisse ces 17,5 pour les fixer � 14,5 millions de centimes, chose que les souscripteurs refusent et d�cident de poursuivre en justice l�agence. Seulement, ces derniers jours ladite agence a adress� des mises en demeure aux souscripteurs leur sommant de r�gler les 14,5 millions, sinon leurs dossiers seront annul�s. Certains ont sign� des engagements pour pouvoir payer ces rallonges en plusieurs �ch�ances, tandis que d�autres refusent car ajoutent- ils, ils n�ont aucune ressource pour pouvoir payer ces arri�r�s. Mardi, lors de la visite du nouveau wali d�l�gu� � la da�ra de H. B. H., les 35 souscripteurs ont expos� leur cas au premier responsable de la wilaya, mais ce dernier n�a pas voulu trancher cette affaire en r�pondant aux int�ress�s que les prix fix�s par l�agence fonci�re sont les moins chers sur tout le territoire national. S�adressant aux responsables de l�agence, il leur a signifi� qu�il fallait au d�part les informer des �ventuelles hausses et de respecter ce qui �tait convenu dans les cahiers de charge. Il a demand� par ailleurs aux r�fractaires de d�signer un groupe d�interlocuteurs afin de lui exposer le probl�me et ce, en attendant qu�une solution leur soit trouv�e. S. B.

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