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Rubrique Contribution

Rafraîchissons la mémoire des amnésiques

Par Karim Younes
«La colonisation de la France avait été une chance pour l’Algérie.» «L’Algérie n'était rien du tout avant l’arrivée de la France en 1830», que «la France a colonisé l’Algérie pour mettre fin à la piraterie barbaresque et à l’esclavage en Méditerranée, pratiqués par les musulmans».

On a l’impression de revivre la veille de la décision de prendre Alger aux « Corsaires ».

Voyons cela de plus près. Quelques rappels historiques :
Évoquant la lutte pour la suprématie en Méditerranée, Carthage la disputant à Rome, Hérodote (historien grec né vers 480 et décédé en 425 avant J.-C.) évoque un autre intervenant : les Numides. À ce moment précis de l’Histoire, notre existence en tant  que peuple qui compte dans la région méditerranéenne était donc attestée et son rôle politique était loin d’être négligeable.
Le Grec Polybe et le Romain Tite-live ont consigné pour l’Histoire les évènements qui se sont déroulés. Grâce à eux, l’histoire de la Numidie est révélée pour la première fois dans l’Histoire de l’Humanité.
Il en va de la Numidie comme de la Gaule : leur histoire n’apparaît, leur passé n’est dévoilé, leur existence même ne se révèle qu’au moment où elles comptent aux yeux de Rome. Retenons qu’à cette période de l’Histoire, la France n’existait pas encore.
On ne sait pas grand-chose sur le passé humain de notre espace géographique avant cette émergence historique de nos ancêtres. On peut tout de même et d’après des écrits de cette époque dire (récits d’Hérodote notamment) que la Numidie est largement intégrée économiquement, culturellement et politiquement au monde méditerranéen.
De plus, un peuple qui a ouvert son commerce aux autres peuples de la Méditerranée devait avoir, à cette époque-là, une civilisation assez évoluée.
Faisons un saut de quelques siècles pour nous situer à la veille de l’agression de la France contre un pays, D’zaïr, Djazaïr, Alguer en espagnol, puis vint la francisation qui donne le nom de l’Algérie qui n’est qu’une traduction des appellations précédentes.  
Les motifs étaient clairs. Olivier Le Cour Grandmaison écrit : « Officiellement, le roi de France entend venger une offense, faite au consul de France par le Dey Hussein, et libérer les esclaves chrétiens… Officieusement, il poursuit des desseins de politique intérieure, l’une des fins de cette opération militaire étant de restaurer le prestige  d’un régime aux abois. Les considérations de politique extérieure sont également importantes, prendre pied en Afrique… .»

L’œuvre bienfaitrice de la France coloniale
Pour le colonel de Montagnac, l’objectif de la pacification est « d'anéantir tout ce qui ne rampera pas à nos pieds comme des chiens ».(1) Le gouverneur général Bugeaud ne lésine sur aucun moyen pour détruire les tribus, jusqu’à leur extinction : la politique de la terre brûlée ne laisse rien passer sur les équilibres socio-économiques et alimentaires du pays : « Nous tirons peu de coups de fusil, nous brûlons tous les douars, tous les villages, toutes les cahutes ; l'ennemi fuit partout en emmenant ses troupeaux .»(2) 
Tocqueville témoigne après un séjour en Algérie : « Nous faisons la guerre de façon beaucoup plus barbare que les Arabes eux-mêmes […] c'est à présent de leur côté que se situe la civilisation. »(3) 
Le massacre d’une population frontalière, séparée d’une mer intérieure, la Mare Nostrum, réalise-t-il le vœu du prince de Polignac, dont le gouvernement « espérait faire revivre les conquêtes militaires de Napoléon et consolider l’influence française dans le bassin occidental de la Méditerranée »…, mais aussi juguler l'opposition intérieure pour renouer avec le prestige monarchique dont rêvait Charles X.(4) Son machiavélisme ne lui portera pas chance et il sera renversé quelques semaines plus tard (25 juillet 1830), à la suite de l’insurrection populaire parisienne des Trois Glorieuses.
Pour l’historien Olivier Le Cour Grandmaison, « la colonisation de l'Algérie se serait ainsi traduite par l'extermination du tiers de la population, dont les causes multiples (massacres, déportations, famines ou encore épidémies) seraient étroitement liées entre elles ».(5)
Le 5 juillet 1830, les armées françaises prennent donc Alger. Des pillages sont perpétrés dans la ville d'Alger par les armées dans l’euphorie de la victoire. Le général Monfort(6) témoigne : « Sur 120 mosquées ou marabouts qui existaient à Alger au moment de l'entrée des troupes françaises, 10 ont été démolies ou tombent en ruine ; 62, parmi lesquelles on comprend celles qui sont des dépendances des casernes ou des hôpitaux, sont en ce moment entre les mains des divers services, tant civils que militaires .» 
La désolation de la capitale Dzayer, El Djazaïr — avec ses canalisations d’eau défigurées, ses parcs éventrés, ses mosquées, tombeaux des fidèles qui s’y sont réfugiés, la pestilence qui couvre l’odeur du jasmin et de la bougainvillée, jadis ornant chaque maison, offrent un tableau surréaliste.
Les villes alentour sans défense sont pillées, vidées de leurs populations, des villages du monde rural disparaissent, les récoltes sont incendiées. Les chemins de l’exode sont jonchés de corps d’enfants, de femmes, de malades, de vieillards. Les maréchaux de France peuvent jubiler à l’image du maréchal Clauzel qui annonce : « À nous la Mitidja ! À nous la
plaine ! Toutes ces terres sont de première qualité. À nous seuls ! Car pas de fusion avec les Arabes. »(7) 

Dzayer El Djazaïr -, l’un des phares de la Méditerranée n’est plus.
Toute une armée d’«intellectuels» proclamera, de par le monde, comme une vérité évidente et universellement admise, que la France « outragée » est dans son bon droit de s’emparer d’Alger, de façon incontestable. Citons, à titre d’illustration, Victor Hugo, qui, s’érigeant en chantre du colonialisme, prononça ces paroles dans un discours datant du 18 mai 1879, représentant par là même l'archétype de la pensée colonialiste de gauche : « Cette Afrique farouche n’a que deux aspects : peuplée, c’est la barbarie, déserte, c’est la sauvagerie ! 
(…) Allez peuples, emparez-vous de cette terre, prenez-la ! À qui ? À personne ! Prenez cette terre à Dieu ; Dieu donne l’Afrique à l’Europe ! 
Prenez-la, non pour le canon, mais pour la charrue ; non pour le sabre, mais pour le commerce ; non pour la bataille mais pour l’industrie.
Versez votre trop-plein dans cette Afrique, et du même coup résolvez vos questions sociales, changez vos prolétaires en propriétaires ! 
Faites des routes, faites des ports, faites des villes ! Croissez, cultivez, colonisez, multipliez, et que sur cette terre de plus en plus dégagée des prêtres et des princes, l’Esprit divin s’affirme par la paix et l’Esprit humain par la liberté. » 
Pour Alexis de Tocqueville, il fallait dominer et prouver sa puissance par n’importe quel moyen ; et la force et les exactions étaient en quelque sorte un passage obligé, un processus normal pour soumettre les tribus : « Brûler des maisons, vider les silos, s’emparer des hommes, des femmes et des enfants sont des actes acceptables .» Tocqueville ajoute : «La manière la plus efficace est d’interdire le commerce et de ravager le pays en le dépossédant de tous ses habitants .» 
Les réflexions de Alexis de Tocqueville rejoignent celles exprimées par des généraux du début de la colonisation : « Que signifie coloniser ? C’est un nombre plus ou moins considérable de personnes des deux sexes, envoyées dans un pays pour l’habiter, le peupler, en défricher les terres, les cultiver, au profit des nouveaux venus ; en un mot, une population nouvelle qui vient heurter de front tous les intérêts des indigènes. Le gouvernement peut-il coloniser la Régence d’Alger avec toutes ses conséquences ? …
…Si nos intérêts à Alger vous sont chers, si l’avenir de la France doit y être assuré, il n’y a qu’un parti à prendre, c’est d’introduire dans ce territoire des populations européennes, de les y établir avec sûreté, de ne pas voler avant d’avoir des ailes, d’interner avec précaution, enfin de repousser devant nous les populations indigènes, et de les obliger sans pitié à nous céder le territoire, jamais il n’y aura de pacte possible entre des chrétiens et des musulmans ...»
Dans un rapport de 1847, il écrit à propos du bilan socio-économique de la conquête : « Nous avons rendu la société musulmane beaucoup plus misérable, plus désordonnée, plus ignorante et plus barbare qu'elle n'était avant de nous connaître .» Et toujours en 1847 : « De notre manière de traiter les indigènes dépend surtout l'avenir de notre domination en Afrique (…) Ce n'est pas dans la voie de notre civilisation européenne qu'il faut quant à présent les pousser, mais dans le sens de celle qui leur est propre.»
«En 1832, quand Savary, duc de Rovigo, fait massacrer, en représailles d'un vol, la totalité de la tribu des Ouffas, il ordonne : «Des têtes... Apportez des têtes, bouchez les conduites d'eau crevées avec la tête du premier bédouin que vous rencontrerez.» 
Dix ans plus tard, quand Bugeaud décide d'appliquer la stratégie de la razzia, de brûler les villages et de réduire par la famine les populations de la région du Chélif, il donne pour consigne à ses hommes liges — Cavaignac, Saint-Arnaud, Canrobert, Pélissier — : « Enfumez-les comme des renards. » Et quand Pélissier revient, mission accomplie, de son enfumade de la grotte du Dahra où sont morts plus d'un millier d'hommes, de femmes et d'enfants, il a ce mot, pour répondre à quelques bonnes consciences inquiètes : «La peau d'un seul de mes tambours avait plus de prix que la vie de tous ces misérables.»...(8)
…N’est-il pas permis de douter de la sincérité du roi, ou du Président français, c’est selon, lui qui a grand besoin de mettre main basse sur le trésor d’Alger ou encore sur le palais de l’Élysée ? Que risque-t-il face à une régence au plus bas de sa puissance ? Déliquescente même.

Les véritables raisons de la colonisation 
Charles X n’était-il pas appâté par le trésor évalué à plus de 500 millions de francs de l’époque (soit 4 milliards d’euros) « amassés pendant des siècles par les corsaires qui contrôlaient Alger, pour retourner à son profit le corps électoral et corrompre ses opposants ? », ajoute l’auteur de Main basse sur Alger.(9) (Alger qui fut la capitale qui a supplanté celle de Béjaïa, hafside après qu’elle eut été hammadite depuis le XIe siècle, après avoir inauguré l’ère des Zirides qui a donné naissance à l’appellation Dzaïr pour aboutir après les péripéties historiques Djazaïr, Alguer, francisé en Algérie). Après une résistance implacable face à la conquête qui a duré plus de 40 ans, vint la lutte politique à partir de 1920,fruit des siècles de maturation. 

L’Algérie avant la France
L’État algérien moderne a existé du vivant de Massinissa pendant 54 ans, de 203 à 138 avant notre ère et au-delà, sous le règne de Miscipsa, son fils et successeur pendant 30 ans sous la supervision, il est vrai envahissante de Rome.  
C'est en quelque sorte une réfutation des thèses faussement anthropologiques et des affirmations théologiques des savants à la solde du colonialisme qui jugeaient que nous n'avions pas connu d'États dans les temps lointains. Eh bien navré de dire qu'il y a grave erreur scientifique et surtout un regard biaisé par des historiens stipendiés dont le seul souci était de masquer les réalités.  
Ne leur en déplaise, nous avons bien connu des ordres politiques, notamment des royaumes et surtout des formes de stratification sociales autour de ce qui ne peut être appelé autrement que par le mot ÉTAT. 
Cet État jouissait d’une culture, forgée dans un métissage qui avait résisté à l’épreuve d’un millénaire d’échanges culturels, linguistiques, vestimentaires, alimentaires et autres avec les Phéniciens, Grecs et Romains… 
Cet État avait son identité propre, celle des Amazighs, tout en s’ouvrant sur les civilisations de l’époque : mésopotamienne, égyptienne, hellénique, égéenne, phénicienne et latine. Dans le domaine des échanges, la Numidie était un partenaire actif de la réalité méditerranéenne. Massinissa mit en place tous les attributs de souveraineté. Il a su tirer une vision et une stratégie pour atteindre ses objectifs : bâtir un pays unifié et puissant, capable de faire face aux prédateurs de l’Histoire. 
À l’ère musulmane, la plupart des différentes dynasties régnantes jusqu’à l’avènement des Ottomans sont le fait d’Algériens. Par extension, les Maghrébins, à l’instar de Tariq Ibn Ziad et de ses combattants en Andalousie, au même titre que les autres peuples nouvellement islamisés, ont largement, significativement, peut-être essentiellement, contribué à la genèse de l’espace civilisationnel musulman.
Cette ère a fait de cet espace culturel, s'étendant de la Perse à l'océan Atlantique, le berceau de la civilisation moderne à une époque cruciale du développement que connaît le monde aujourd'hui.
Je vous parle d'un «espace-bibliothèque» qui a joué le rôle de conservation, de traduction et de développement des sciences helléniques. Nous avons été des passeurs d'humanisme, mais c'est l'Occident qui en a tiré profit pour entrer dans ce qu'on appelle communément la Renaissance.
Nous avons jeté un pont vers la modernité et c'est l’Occident qui l’a emprunté. 
Il s’en est servi pour engranger les arts, les sciences, les techniques, les constructions juridiques, la philosophie, tous trésors que nous avons sauvés de la barbarie médiévale, naufrage de la civilisation et dont l'Occident s'est emparé pour se construire un complexe de supériorité extraordinaire.  C'est de ce complexe que les empires coloniaux ont tiré la justification fallacieuse de leur domination du monde. 
Béjaïa, l’illustre capitale des Hammadites au XIe siècle puis des Hafsides, aux XIIe et XIIIe siècles, continuum de la branche des Almohades, successeurs des Almoravides berbères qui ont unifié toute l’Afrique du Nord, de l’Atlantique jusqu’aux bords du Nil, tient son digne rang après avoir éclairé l’humanité des sciences et de la connaissance par l’intelligence de ses savants, auxquels sont mêlés les meilleurs chercheurs du pourtour méditerranéen et enfin mené un combat armé jusqu’à la libération totale du pays.
Aujourd’hui, nous pouvons, nous devons être fiers de constituer une Nation, un peuple homogène, riche de sa diversité ; réunis autour d’un même emblème aux couleurs de notre République, fondée par des hommes et des femmes prestigieux, d’une exceptionnelle bravoure.  

Et quel est le résultat d'une telle générosité collective dans l’effort ?
L'apparition de la physique comme science et ses applications, jointes à l'ingéniosité matérielle, allaient propulser l'Europe au-devant de la scène
mondiale : les canons seraient embarqués avec les forces militaires sur les navires et la poudre à canon que les musulmans eux-mêmes ont importée de Chine offrirait aux Européens une supériorité dont ils ne tarderaient pas à user et abuser. 
L’Andalousie a alors disparu dans les ténèbres du passé au profit de nouveaux prophètes peu glorieux, prônant un modèle à la place de celui du prophète et des Lumières de l’élite musulmane des siècles du Moyen-âge.
Des nouveaux prophètes auto-proclamés sont apparus. Ils vivent dans leurs bulles « dans une vision de l’Histoire qui transcende l’espace et le temps, dans un système vierge et isolé où tout est possible, affirmant que la solution réside dans le retour pur et simple aux sources » (Oumma). 
Ils prônent une lecture manichéenne des choses, une lecture qui occulte toutes les sciences rationnelles musulmanes au profit de lois canoniques qui nous maintiennent dans cet état statique de l'année 1492.
Pire encore, s'est insaturée une forme d'autisme qui nous a conduits à refuser la modernité, la nouveauté technique et sociale et par là même la réforme comme mode d'approche de la modernité. Or les lois justement n'ont jamais été des sciences exactes mais juste des normes calquées sur des réalités et destinées à limiter LE FLÉAU et favoriser l'équilibre, indispensable à une société apaisée. 

Bref rappel de 132 ans de domination coloniale
Sous Charles X, petit-fils de Louis XV qui régna de 1824 à 1830, l’Algérie connut le choc de l’agression, brutale, sauvage, barbare.
Sous le règne de son cousin, Louis-Philippe qui prit sa suite de 1830 à 1848, l’Algérie fut soumise à une période de conquête qui s’est distinguée par la politique, résumée par le général Saint-Arnaud en ces quelques mots : « On ravage, on brûle, on pille, on détruit les maisons et les arbres.» La partie était facile tant la résistance du pays, sans une réelle administration et des populations abandonnées à leur sort par les forces turques occupantes depuis trois siècles, rendait vain l’arrêt d’un feu roulant qui emportait tout sur son passage : hommes et bêtes, ciel et terre.
Durant la IIe République de 1848 à 1852, sous Charles Louis Napoléon Bonaparte (Napoléon III), l’Algérie a toujours résisté à la puissance de feu des forces coloniales qui ne se sont pas retenues de procéder à des « enfumades », à des razzias et autres saccages de récoltes, des douars entiers.
De la IIIe République, l’Algérie a connu les lois scélérates, le Senatus consulte de 1863, la loi du 23 mars 1882 instaurant l’état civil, appliquée avec l’intention de bouleverser la société algérienne en la déstructurant, et en dépossédant les Algériens de leur patronyme, façon de casser leur identité. 
Tous les présidents successifs ont été témoins de la tragédie, vécue par les Algériens qu’ils considéraient comme des sujets, voire de la chair à canon pour leur armée.
Napoléon III a imaginé inclure l’Algérie dans un vaste «Royaume arabe» qui s’étendrait jusqu’à Baghdad et devrait dépendre de la Syrie.
À partir de décembre 1870 et l’avènement de la IIIe République, tous ses successeurs, sans exception, d’Adolphe Thiers en 1871 à Albert Lebrun en 1940, sont restés sourds aux luttes menées par les partis politiques algériens musulmans qui réclamaient un ordre social et économique plus juste et un rôle politique, conforme à celui en cours pour les Français.
Il en est de même pour les présidents de la IVe République : Vincent Auriol 1947-1954, et René Coty 1954-1958 qui fut témoin du déclenchement de la guerre de Libération. Quant à Charles de Gaulle, fondateur de la Ve République et son premier Président de 1959 à 1969, il verra comme « acteur-observateur» de son siècle, la mer coloniale se retirer dans un mouvement de marée basse et clore la longue nuit coloniale de 132 ans.
Qu’en sera-t-il sous Emmanuel Macron, face à une « Nation » algérienne, loin d’être celle de 1830 ?
Question pertinente, qui mérite d’être posée. 
K. Y.

1) Cité in Marc Ferro, « La conquête de l'Algérie », in Le livre noir du colonialisme, Robert Laffont, p. 657.
2) Idem
3) Alexis de Tocqueville. De la colonie en Algérie. 1847, Éditions Complexe, 1988.
4) Le douloureux passé de la Méditerranée : Histoire Par Chantal Grand. 
5) Coloniser Exterminer. Sur la guerre et l'État colonial, Paris, Fayard, 2005.
6) Joseph de Puniet de Monfort, né le 6 avril 1774 mort le 30 janvier 1855, est un aristocrate et officier français qui fit carrière sous Napoléon. Maréchal de camp (général de brigade).
7) Michel Habard, L'histoire d'un parjure.
8) Yves Benot Massacres coloniaux : 1944-1950 : la IVe République et la mise au pas des...
9) Pierre Péan, Main basse sur Alger, enquête sur un pillage, juillet 1930, Chihab éditions, 2005).

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