Comme pour couronner le tout, les activités culturelles et artistiques rétrécissent comme une peau de chagrin face à l’invasion du coronavirus. Les journalistes de la culturelle sont certainement les plus touchés. «Les sportifs», au moins, ont des matchs de foot à huis clos. Sur quoi écrire quand les concerts de musique, les spectacles de théâtre et même les festivals sont annulés ou reportés ? Restent les expositions d’arts plastiques et les notes de lecture des livres. Le malheur des uns fait parfois le bonheur des autres.
K. B.
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