Dans son roman Al Ribbat Al Mouqaddas (Le lien sacré), autobiographique par certains aspects, Tawkiq Al-Hakim parle d’un écrivain d’un certain âge, qui vit seul chez lui, retiré de la vie et des mondanités. L’écrivain égyptien a comparé son héros solitaire à un «rahib el fikr», un ermite de la pensée, qui vit retiré pour des raisons autres que religieuses.
L’écrivain algérien Merzak Bagtache est aujourd’hui comme un «ermite de la pensée».
K. B.
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