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Rubrique Culture

Le coup de bill’art du soir Qui a raison et qui a tort, Belmadi ou Delort ?

Nous jouons, paraît-il, mieux contre les équipes européennes, asiatiques ou américaines. Mais nous sommes «beaux et bien» un pays africain.

Aussi, pour accéder à la phase finale de la Coupe du monde de football, il faut jouer et se qualifier en Afrique pour pouvoir, justement, représenter le continent africain.
Entre la raison (dans tous  ses états) et le cœur, Andy Delort a manifestement choisi celui qui a ses raisons et que la raison ignore. Delort est, d’ailleurs, un joueur qui vaut son pesant d’or. Mais un coach dans ses choix (joueurs, tactique,  système de jeu) est souverain. Il  y a eu deux  Coupes du monde (1982 et 1986) où plusieurs joueurs (Kouici, Bencheikh, Fergani, Menad, Yahi,  Bouiche…) qui avaient participé aux matches des éliminatoires n’avaient pas joué en Espagne et au Mexique, ou avaient été carrément écartés de la sélection pour des raisons qu’on connaît le moins. Radio trottoir et le téléphone arabe disaient que des politiciens imposaient leurs  protégés «par téléphone» et les entraîneurs de l’époque démissionnaient ou restaient aphones.
Djamel Belmadi, certainement, ne veut plus entendre parler de ces pratiques du passé.
Une dernière info avant le coup de sifflet final : en battant le Soudan par 14 à 0, l’équipe nationale féminine a battu le record des Verts (masculins) de 8 buts à zéro face à Djibouti.
K. B.
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