Le Hirak, appelé aussi «Révolution du sourire», avait, à ses débuts, agréablement surpris le monde entier par sa créativité artistique. Il avait aussi démontré qu’il y a une autre (joyeuse) société différente de celle des « desperados» qui occupent l’espace de nos villes et campagnes. Pour ne pas dire «révolution culturelle», parce que ça rappelle autre chose, c’était une belle «révolution artistique» dans laquelle la femme était très présente.
L’autre «révolution» à faire est certainement d’essayer d’appliquer et d’imposer dans la vie de tous les jours toute cette créativité et toutes ces potentialités culturelles et artistiques des Algériens.
K. B.
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