La nouvelle de la mort du jeune Aïssi Zoubir, âgé de
36 ans et natif de Oued Souf, dans la matinée d'hier vers 6h, s'est
répandue telle une traînée de poudre dans les quatre coins de la wilaya
de Béjaïa.
Venu passer un week-end en bord de mer sur la station balnéaire de Souk-el-Tenine à quelque 30 km à l’Est de Béjaïa en compagnie de sa famille et de ses proches amis mercredi dernier, le jeune estivant a été violemment tabassé par les «parkingueurs» de la région pour ne pas avoir cédé à la pression et payer le stationnement sur une aire publique jouxtant la plage de S.E.T. La victime, après avoir été rouée de coups de matraque par une bande de voyous devant les regards ahuris de dizaines d'estivants, a été immédiatement prise en charge par la Protection civile et évacuée aux urgences de l'hôpital Khelil-Amrane.
Aïssi Zoubir souffrait, selon nos informations, d'un polytraumatisme crânien et rachidien. Il a été opéré dans la matinée du jeudi, au lendemain de son hospitalisation, au rachis lombaire. Son état de santé demeurait stationnaire pour ensuite se dégrader, consécutivement aux violents coups reçus dans différents endroits du corps. Les spécialistes de l'hôpital n'ont ménagé aucun effort pour tenter de sauver la victime de cette ignoble barbarie, qui s'est répandue telle une traînée de poudre même en dehors de la wilaya de Béjaïa. Hier, c'est toute la région qui s'est «montrée indignée par ce crime ignoble».
Des centaines de personnes se sont rendues à l'hôpital Khelil-Amrane, dès l'annonce de la mort du jeune soufi, dont des intellectuels, des personnalités artistiques et simples citoyens afin d'exprimer leur chagrin et présenter leurs condoléances à sa famille, qui n'a pas quitté les lieux de l'hospitalisation de la victime depuis son admission.
Kamel Gaci
Venu passer un week-end en bord de mer sur la station balnéaire de Souk-el-Tenine à quelque 30 km à l’Est de Béjaïa en compagnie de sa famille et de ses proches amis mercredi dernier, le jeune estivant a été violemment tabassé par les «parkingueurs» de la région pour ne pas avoir cédé à la pression et payer le stationnement sur une aire publique jouxtant la plage de S.E.T. La victime, après avoir été rouée de coups de matraque par une bande de voyous devant les regards ahuris de dizaines d'estivants, a été immédiatement prise en charge par la Protection civile et évacuée aux urgences de l'hôpital Khelil-Amrane.
Aïssi Zoubir souffrait, selon nos informations, d'un polytraumatisme crânien et rachidien. Il a été opéré dans la matinée du jeudi, au lendemain de son hospitalisation, au rachis lombaire. Son état de santé demeurait stationnaire pour ensuite se dégrader, consécutivement aux violents coups reçus dans différents endroits du corps. Les spécialistes de l'hôpital n'ont ménagé aucun effort pour tenter de sauver la victime de cette ignoble barbarie, qui s'est répandue telle une traînée de poudre même en dehors de la wilaya de Béjaïa. Hier, c'est toute la région qui s'est «montrée indignée par ce crime ignoble».
Des centaines de personnes se sont rendues à l'hôpital Khelil-Amrane, dès l'annonce de la mort du jeune soufi, dont des intellectuels, des personnalités artistiques et simples citoyens afin d'exprimer leur chagrin et présenter leurs condoléances à sa famille, qui n'a pas quitté les lieux de l'hospitalisation de la victime depuis son admission.
Kamel Gaci