Les responsables des écoles de langues, fermées depuis les premières mesures de confinement, interpellent les pouvoirs publics sur leur situation critique. Ils s'interrogent sur les possibilités de bénéficier de mesures leur permettant de redémarrer leurs activités. Ils proposent des exonérations fiscales ou des reports de paiement de loyer pour tenter de survivre à la crise.