Enfin une mesure d’apaisement…
… Rivotril et Diazépam disponibles sur le marché !
Oui ! Pendant ce temps-là, elles fondent ! Elles fondent inexorablement. Et le réchauffement climatique n’y est pour rien, même si eux souhaiteraient ardemment mettre cette fonte sur le dos du climat et de cette lâche bougresse de couche d’ozone même pas capable de résister aux particules de gaz. Les réserves de change fondent et nous commentons les tribulations d’un indu occupant squattant un immeuble de luxe à Neuilly-sur-Seine, en plein cœur luxueux de Paris ! Au passage, je signale juste aux juges qui enferment des leaders politiques, des femmes et des hommes de l’opposition, au prétexte qu’ils font dans… l’opposition, qui embastillent des étudiantes et des étudiants au motif qu’ils sont jeunes et frais – un délit en autocratie — qui mettent derrière les barreaux des « ichachra », des enfants, à tous ces honorables magistrats, je signale donc et souligne un fait têtu : le Drabki a affirmé noir sur blanc que s’il est convoqué par la justice, il ne se présentera jamais devant elle. Le gugusse fait un pied-de-nez à la loi, celle qui est censée être au-dessus de tous les Algériens, même ceux qui sirotent leur café à Barbès pour le payer moins cher qu’à Neuilly. Et ? Et rien ! Le grigou dit haut et fort « j’emmerde la République et ses lois » et… walou ! Mais vous voyez comment nous sommes ? Les réserves de change ont encore fondu depuis le début de cette chronique, et nous sommes là, les yeux rivés sur un pompiste devenu citerne à fric ! Incorrigibles ! Et bientôt, des incorrigibles qui vont s’entretuer devant les épiceries du pays pour un litre de mauvais lait émirati. Parce qu’il est là l’enjeu : la fonte ne s’arrête pas ! Et vendre le sous-sol n’y suffira même plus. Préparons-nous à pire. Vendre nos sous-vêtements et aller ensuite nous disputer les feuilles de vigne, pour ceux qui essaieront encore de dissimuler leurs restes de dignité ! Je fume du thé et je reste éveillé, le cauchemar continue.
H. L.
… Rivotril et Diazépam disponibles sur le marché !
Oui ! Pendant ce temps-là, elles fondent ! Elles fondent inexorablement. Et le réchauffement climatique n’y est pour rien, même si eux souhaiteraient ardemment mettre cette fonte sur le dos du climat et de cette lâche bougresse de couche d’ozone même pas capable de résister aux particules de gaz. Les réserves de change fondent et nous commentons les tribulations d’un indu occupant squattant un immeuble de luxe à Neuilly-sur-Seine, en plein cœur luxueux de Paris ! Au passage, je signale juste aux juges qui enferment des leaders politiques, des femmes et des hommes de l’opposition, au prétexte qu’ils font dans… l’opposition, qui embastillent des étudiantes et des étudiants au motif qu’ils sont jeunes et frais – un délit en autocratie — qui mettent derrière les barreaux des « ichachra », des enfants, à tous ces honorables magistrats, je signale donc et souligne un fait têtu : le Drabki a affirmé noir sur blanc que s’il est convoqué par la justice, il ne se présentera jamais devant elle. Le gugusse fait un pied-de-nez à la loi, celle qui est censée être au-dessus de tous les Algériens, même ceux qui sirotent leur café à Barbès pour le payer moins cher qu’à Neuilly. Et ? Et rien ! Le grigou dit haut et fort « j’emmerde la République et ses lois » et… walou ! Mais vous voyez comment nous sommes ? Les réserves de change ont encore fondu depuis le début de cette chronique, et nous sommes là, les yeux rivés sur un pompiste devenu citerne à fric ! Incorrigibles ! Et bientôt, des incorrigibles qui vont s’entretuer devant les épiceries du pays pour un litre de mauvais lait émirati. Parce qu’il est là l’enjeu : la fonte ne s’arrête pas ! Et vendre le sous-sol n’y suffira même plus. Préparons-nous à pire. Vendre nos sous-vêtements et aller ensuite nous disputer les feuilles de vigne, pour ceux qui essaieront encore de dissimuler leurs restes de dignité ! Je fume du thé et je reste éveillé, le cauchemar continue.
H. L.
