Après le Ramadhan ponctué par l’Aïd el-Fitr, les
fêtes familiales, les vacances et la mer, pour certains, afin de faire
plaisir aux enfants et leur permettre de changer d’air, puis le mouton
de l’Aïd el-Adha, voici venue, en un espace bien raccourci entre tous
ces évènements, une autre épreuve autant contraignante financièrement
mais aussi importante et attendue par tous, à savoir la rentrée scolaire
avec toutes ses exigences et les besoins pressants de nos chérubins
d’acquérir leur trousseau scolaire : tablier, cartable, livres, cahiers
et le tutti quanti de fournitures y afférentes.
Un tour dans les librairies et autres points de vente, improvisés pour la circonstance, nous a permis de découvrir l’engouement de certains parents, accompagnés de leurs enfants, pour l’acquisition des produits de qualité : sacs à dos, trousses et autres articles aussi variés par leurs formes, leurs styles et leurs couleurs, qu’attrayants et captivants, mais aussi, des parents désappointés par la succession de tous ces évènements déplumants.
Fait nouveau, cette année, le ministère de l’Education nationale a promulgué une circulaire concernant les trois cycles (primaire, moyen et secondaire) portant allègement du poids du cartable ainsi que la réduction des coûts des articles scolaires et la rationalisation de leur utilisation. Mettant en application ces directives, des libraires que nous avons visités proposent déjà ces listes à leurs clients en les informant de cette nouveauté, à l’instar de la Librairie Dehili. Pour Abdelkader, le propriétaire de ce commerce, les tarifs n’ont pas connu d’augmentations significatives mis à part tout ce qui est papeterie. Le prix, donc, d’un trousseau complet varie, selon monsieur Dehili, de la qualité des articles exigés dont les tarifs vont du simple au quadruple et même au-delà pour le même produit mais, les prix moyens des trousseaux (sac à dos, trousse, cahiers, couvertures et tous les autres accessoires y afférents) sont de l’ordre de 3 000 DA pour le palier primaire et 4 000 à 4 500 DA pour le moyen et le secondaire. Les librairies et autres points de vente improvisés pour la circonstance vont connaître un engouement significatif, au courant de cette semaine, à cause de la rentrée scolaire fixée au 5 du mois en cours, soit demain, seulement le hic c’est qu’on constate que les agents de contrôle relevant des services du commerce n’ont d’yeux et ne sont rigoureux dans l’application stricte de la réglementation en vigueur relative à la qualité et autres dates de péremption que pour les commerçants en règle, qui exercent dans le créneau et qui payent leurs impôts et emploient une main-d’œuvre, faisant fi de tous les autres commerçants occasionnels ou informels qui écoulent, pourtant, le gros de cette dite marchandise. Qui donc pour protéger le citoyen qui s’alimente auprès de ces commerçants qui ne sont ni contrôlés ni inquiétés ? La question est posée !
A. M’haimoud
Un tour dans les librairies et autres points de vente, improvisés pour la circonstance, nous a permis de découvrir l’engouement de certains parents, accompagnés de leurs enfants, pour l’acquisition des produits de qualité : sacs à dos, trousses et autres articles aussi variés par leurs formes, leurs styles et leurs couleurs, qu’attrayants et captivants, mais aussi, des parents désappointés par la succession de tous ces évènements déplumants.
Fait nouveau, cette année, le ministère de l’Education nationale a promulgué une circulaire concernant les trois cycles (primaire, moyen et secondaire) portant allègement du poids du cartable ainsi que la réduction des coûts des articles scolaires et la rationalisation de leur utilisation. Mettant en application ces directives, des libraires que nous avons visités proposent déjà ces listes à leurs clients en les informant de cette nouveauté, à l’instar de la Librairie Dehili. Pour Abdelkader, le propriétaire de ce commerce, les tarifs n’ont pas connu d’augmentations significatives mis à part tout ce qui est papeterie. Le prix, donc, d’un trousseau complet varie, selon monsieur Dehili, de la qualité des articles exigés dont les tarifs vont du simple au quadruple et même au-delà pour le même produit mais, les prix moyens des trousseaux (sac à dos, trousse, cahiers, couvertures et tous les autres accessoires y afférents) sont de l’ordre de 3 000 DA pour le palier primaire et 4 000 à 4 500 DA pour le moyen et le secondaire. Les librairies et autres points de vente improvisés pour la circonstance vont connaître un engouement significatif, au courant de cette semaine, à cause de la rentrée scolaire fixée au 5 du mois en cours, soit demain, seulement le hic c’est qu’on constate que les agents de contrôle relevant des services du commerce n’ont d’yeux et ne sont rigoureux dans l’application stricte de la réglementation en vigueur relative à la qualité et autres dates de péremption que pour les commerçants en règle, qui exercent dans le créneau et qui payent leurs impôts et emploient une main-d’œuvre, faisant fi de tous les autres commerçants occasionnels ou informels qui écoulent, pourtant, le gros de cette dite marchandise. Qui donc pour protéger le citoyen qui s’alimente auprès de ces commerçants qui ne sont ni contrôlés ni inquiétés ? La question est posée !
A. M’haimoud
